« Agbeyomé Kodjo est chez lui. Avec sa famille. Il ne pouvait en être autrement d’autant qu’il n’a commis aucun crime, il s’est battu de la meilleure manière et du côté du peuple togolais. Malheureusement, sa maison a été cassée, sa famille et ses proches initialement traumatisés. C’est une sauvagerie insoutenable pour laquelle il donnera la suite qu’il jugera utile », a regretté Carmel Max Savi, son Directeur de communication.
Et d’ajouter : « Mais aucune dictature africaine n’est tombée sans passer par des étapes d’agonie qui font que Faure Gnassingbé panique et s’en prend violemment à ses opposants ».
Le silence imposé au président du Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (MPDD) n’est pas du goût du chargé à la communication et au lobbying média.
« Quant aux conditions de libérations, elles n’engagent que le juge d’instruction. Il est inacceptable et incompréhensible de dire à un homme politique de ne pas évoquer un scrutin qu’il a gagné. Et de se taire pour de bon. C’est une abolition de sa carrière politique et cela ne correspond à rien », a souligné Max Carmel Savi.
Toujours est-il que la question demeure : qui va régler la facture des dommages causés dans le domicile de l’ancien Premier ministre ?-
Source : icilome.com