Intervenant dimanche sur les ondes de la radio Kanal K, Me Mawaba Songue-Balouki du trio d’avocats constitué par la famille Madjoulba, est revenu en détails sur les dernières démarches menées auprès des autorités togolaises pour récupérer le corps du Colonel Toussaint Bitala Madjoulba, retrouvé mort dans une mare de sang le 4 mai dernier dans son bureau au camp BIR de Lomé.
Sept mois après, le mystère qui entoure l’assassinat du commandant du 1er bataillon d’intervention rapide (BIR) ne s’est donc pas encore dissipé. Jusqu’à présent, nulle n’a officiellement le nom de celui qui a ôté la vie à cet officier haut gradé des forces armées togolaises. Les enquêtes ne donnent rien de probant. Sauf confirmé que le Colonel a été bel et bien « assassiné » par sa propre arme de marque Beretta.
Dans son intervention dimanche au micro du confrère Sylvain Amos, Me Mawaba Songue-Balouki a estimé que l’enquête diligentée dans le cadre de cet assassinat traîne trop. Ce qui fait encore mal, c’est le fait que les autorités togolaises refusent de restituer le corps à la famille.
« Un Colonel de l’armée est mort dans un camp militaire, une nuit, en temps de couvre-feu et plus de sept mois ap-
Source : icilome.com