Dans la foulée de l’assassinat mystérieux du chef corps du 1er BIR (Bataillon d’intervention rapide), Faure Gnassingbé quelques heures, après sa prestation, s’est retiré à Elavagnon dans la résidence de feu son père, avec un carré de fidèles, surtout militaires et conseillers militaires. Il s’agit pour l’homme qui s’est donné les moyens de prendre un 4è mandat à la suite d’une nouvelle élection frauduleuse, comme toujours, d’une retraite afin de réfléchir pour juguler les conséquences de ce crime crapuleux qui vient rappeler au commun des mortels que le pouvoir se nourrit du sang, parfois de ses propres fils.
Dans l’entourage de Faure Gnassingbé, se trouve un conseiller militaire français très discret dont la présence en ces moments-ci est nécessaire, surtout lorsqu’on cherche à juguler l’onde de choc de l’assassinat crapuleux de l’autre. Habillé toujours ces temps en noir, le général Raymond Germanos, ancien chef d’Etat-major de l’armée française, ex-consultant militaire de Paul Biya, concepteur des B1204+IR (Bataillon d’intervention rapide), a pris ses quartiers à Lomé depuis plusieurs années. Tout comme le général Raymond Germanos, ils sont nombreux, ces français généralement de moralité douteuse et de réputation sulfureuse, à se mettre au service de la dictature cinquantenaire au Togo avec le soutien discret de Paris.
Raymond Germanos, concepteur du BIR au Cameroun et au Togo, condamné en France pour p-
Source : icilome.com