Ces enseignants qui estiment avoir été victimes d’une « campagne de dénigrement » orchestrée par le Prof. Dodzi Kokoroko, appellent le gouvernement à la rescousse. A les entendre, Prof. Dodzi Kokoroko est en train de régenter ce temple du savoir tel un petit Mussolini.
Le SEST déplore les « méthodes arbitraires » de l’administration universitaire qui consiste à suspendre les salaires des enseignants, à opérer des affectations à caractère visiblement punitif, à maintenir des contrats en instance de non renouvellement après presque une dizaine d’années d’exercice et ceci pour un oui ou pour un non, ou encore à prendre des décisions tendant à révoquer des enseignants-chercheurs à cause de leur engagement et prises de position.
« On ne s’aurait laisser libre cours à de l’excès de pouvoir ou des voies de fait dans une institution qui est sensée transmettre des valeurs humaines, morales, éthiques, légales », lit-on dans le communiqué.
Le SEST menace de mener de nouvelles actions d’envergure dans les prochains jours pour faire entendre raison à l’administration universitaire afin qu’elle verse aux Enseignants du Supérieur les reliquats qui leur reviennent de droit.
Godfrey A-
Source : icilome.com