On peut avoir avalé des couleuvres, des boas ou des anacondas, mais un jour, un petit ver de terre peut vous couler. Nous avons patienté jusqu’à ce jour afin de ne pas dévoiler cette sangsue appelée juge du 5ème cabinet d’instruction. Malheureusement sa dernière demande est la goutte d’eau qui fera déborder le vase. Si toutes les victimes du juge Lamboni Kanfitiéni pouvaient parler, le ministre de la Justice Pius Agbetomey et le fameux Conseil supérieur de la magistrature sauraient que plus les affectations dureront, plus de pauvres innocents seront rackettés par des juges qui font de leur poste des carrières.
Si la juge du 7ème cabinet d’instruction est là, qu’elle passe à la barre pour témoigner et rapporter les propos de son collègue du 5ème cabinet, lorsque celui-ci lui confiait que dame Malika Issa-Touré mentait lorsqu’il l’avait reçue dans son cabinet au sujet de sa plainte pour vol, viol et chantage. Mais pourquoi alors depuis juillet 2019, le juge Lamboni Kanfitiéni refuse délibérément de libérer le jeune Richard Agbonou ? Parce que dame cupidité a étalé sa natte devant le cabinet dudit juge. Les lignes qui vont suivre valent un roman de Gérard de Villiers avec comme acteur principal Lamboni.
La première fois que nous avions pris attache avec le juge du 5ème cabinet, c’était le 30 octobre 2019. « Nous désirons échanger avec vous aujourd’hui vers 11h au sujet de deux jeunes que vous avez déposés à la pri-
Source : icilome.com