Deuxième jour (aujourd’hui) de la grève des enseignants membres de la Fédération des Syndicats de l’Education Nationale (FESEN). Hier lundi, début du mouvement, les activités scolaires étaient au ralenti sur toute l’étendue du territoire national.
Cette grève de 72 heures intervient suite à la décision du gouvernement portant révision du protocole d’accord signé en avril 2018. Ces enseignants grévistes opposent un refus catégorique à cette révision du fameux protocole d’accord. Ils craignent une revue à la baisse des avantages inscrits dans cet accord.
A en croire Houssimé Sénon, Secrétaire général de la FESEN cette grève de 72 heures très suivie par les camarades, est aussi un test, un baromètre de mobilisation pour faire comprendre au gouvernement leur détermination pour l’obtention des meilleures conditions de vie et de travail.
« Cette grève un test pour faire comprendre à notre employeur qui est le gouvernement, le degré de mobilisation des camarades. Parce que pour nous pensons que notre employeur ne nous prend pas au sérieux », a-t-il so-
Source : icilome.com