Il ne sera pas question d’accepter la démission forcée du président Ibrahim Boubacar Keïta. Mais l’institution pourra cependant essayer d’amender les recommandations des experts constitutionnels en médiation qui ont été envoyées.
La méditation avait proposé Une mise en place « de toute urgence d’un gouvernement d’union nationale, sur la base du consensus », dont 30% des membres seront issus de l’opposition, 20% de la société civile et 50% de la majorité présidentielle, et une nouvelle nomination de la Cour constitutionnelle qui cristallise les critiques depuis le début de la crise.
Pendant ce temps, les membres du comité stratégique du Mouvement 5 Juin qui ne sont pas d’accord avec ces recommandations, insistent sur le départ forcé de IBK, mais ont décidé de libérer les rues jusqu’à la fin du mois pour permettre aux populations de se préparer à fêter la Tabaski prévue pour la fin de ce mois de juillet.
Mensah A-
Source : icilome.com