A l’annonce du décès de mon confrère et ami Dominique Aliziou, j’ai été saisi par la tristesse et la peur. Mais ce soir, je me sens de nouveau assez fort pour m’assoir à table et écrire ces quelques mots qui me tiennent tant à cœur.
Ces lignes, je les adresse uniquement à mes confrères et consœurs journalistes, même si je sais très bien qu’elles peuvent aller au-delà de ce cercle de privilégiés. Mais tant pis, ou tant mieux!
La mort de Dominique a suscité de nombreuses réactions. Quelques unes ont particulièrement retenu mon attention. Celle de Jean-Paul Agboh, ancien président du Conseil National des Patrons de Presse CONAPP, celle de l’actuel président du CONAPP Arimiyao Tchagnao, celle du confrère Fabrice Pétchézi et enfin celle du confrère Eugène Bamazé, directeur de Radio Carré Jeune.
Jean-Paul Agboh a merveilleusement décrit comment le défunt a été bien pris en charge, entouré de six professeurs, des médecins. C’est formidable ! Mais pouvait-il en être autrement ? Il me semble qu’il serait quand même étonnant qu’une n-
Source : icilome.com