Ce mardi 25 avril, c’est la journée mondiale de lutte contre le paludisme. Cette année, l’Organisation mondiale de la santé (Oms) met un accent sur la prévention de la maladie qui, nonobstant les sensibilisations, ne cesse de faire des victimes.
Chaque année, l’Organisation mondiale de la santé (Oms) enregistre moyennement 400.000 décès dus au paludisme, une maladie causée par la piqûre du moustique (anophèle) femelle.
Au Togo, c’est la campagne « Un Togolais une moustiquaire » qui est lancée depuis des mois. Et même si le taux de mortalité a diminué, le paludisme continue quand même de faire des victimes.
« Le taux de mortalité diminue au Togo parce que nous avons pris la mesure de la chose. Nous distribuons des moustiquaires, la prise en charge par des combinaisons thérapeutiques, le traitement préventif intermittent, et d’autres stratégies », a indiqué le point focal de la campagne nationale de lutte contre le paludisme dans le Golfe et le Zio, Eloua Oboussoumi.
L’Oms, quant à elle, compte désormais tabler sur la prévention. A cet effet, elle a lancé lundi, le premier vaccin antipaludique à grande échelle au Kenya, Ghana et Malawi. Cette organisation Onusienne entend vacciner 360 000 enfants de 2018 à 2020.
JA
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