« 19 détenus de la même prison, hommes de nationalité Togolaise, résidant à Lomé qui sont tous des contacts dont les âges sont compris entre 24 et 53 ans », indique ce dimanche le site officiel d’information du gouvernement.
La prison civile de Lomé, réputée pour sa surpopulation, est un nouveau « cluster » de la maladie au coronavirus. Une situation que redoutait le chef de l’État Faure Gnassingbé en procédant en avril dernier, à la libération de 1084 prisonniers dans les prisons civiles de Lomé, Dapaong, Mango, Kanté, Kara, Bassar, Sokodé, Atakpamé, Kpalimé, Aného, Vogan, Tsévié et Notsé.
Cette action faut-il préciser, fait suite à l’appel lancé en mars dernier par le Haut-commissaire aux droits de l’homme des Nation unies, demandant la libération de détenus dans le monde en cette période pandémique.
Rayan Naël
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Source : icilome.com