Comi Toulabor : chercheur Mythomane, Trouveur de « vérités » Imaginaires ou professeur de politique Fiction !

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Après lecture de l’interview réalisée par monsieur Elom ATTISOGBE de LA NOUVELLE TRIBUNE dans sa parution N° 63 du 19 juillet 2018, le caractère saugrenu et grotesque des propos tenus par l’interviewé répondant au nom de Comi TOULABOR ne laisse pas de surprendre. Dans l’interview, il se cache sous le manteau d’un chercheur objectif et indépendant, et fait l’apologie du PNP en tronquant, à sa guise, les réalités sociopolitiques du Togo. Monsieur Edo Raphaël BANYABA, alias Comi TOULABOR, n’y est pas allé de main morte.

Comi Toulabor : chercheur Mythomane, Trouveur de « vérités »  Imaginaires ou professeur de politique Fiction !

Il pourfend, à perdre haleine, l’ANC et son Chef, Jean Pierre FABRE, sur lequel il se répand en injures, procédant par des affirmations gratuites et de graves accusations dont il ne peut rapporter aucune preuve. La malhonnêteté morale du prétendu chercheur, dans cette auto interview est avérée. Monsieur Comi TOULABOR est connu comme sympathisant du PNP depuis le 19 août 2017. En agissant en malhonnête, comme il fait, il ne récolte qu’un accroissement du discrédit qui, déjà pèse sur sa qualité de chercheur et toutes ses communications passées et à venir.

Malgré cette énorme supercherie, les togolais dans leur immense majorité se demandent s’il est nécessaire, de perdre leur temps à répondre au chercheur Comi TOULABOR, en raison de la débilité de ses propos qui, ne reflètent rien de son supposé niveau intellectuel. Refuser d’y réagir, pour toute personne au fait de l’actualité togolaise, de surcroit, sympathisant de l’ANC, c’est donner caution à la bêtise et encourager d’autres prétendus « intellectuels », à continuer, au nom d’une science infuse, qu’ils prétendent détenir, à débiter des inepties sur l’engagement patriotique des togolais pour renverser la dictature, englués qu’ils sont, dans une fausse supériorité intellectuelle,

Tenter de décourager, comme le fait, monsieur Comi TOULABOR, de façon aussi abjecte, les bonnes volontés engagées dans cette noble et exaltante lutte de libération, est criminel et participe de la ruine désastreuse des espérances légitimes de tout un peuple. Le lecteur avisé n’aura aucun mal à se convaincre de la médiocrité de monsieur Comi TOULABOR, malgré le titre ronflant dont il s’affuble.

En effet, les articles de monsieur Comi TOULABOR, pêchent par leur petitesse. En tout cas, ils ne volent pas bien haut et, font véritablement piètre figure à côté des écrits de ses confères, dont la jeunesse africaine s’enorgueillit, à juste titre, tant, ces derniers, comme Jean Baptiste PLACCA, Achille BEMBE, Mathias HOUNKPE, Francis KPATINDE, Francis LALOUKPO, Alain MABANCKOU, pour ne citer que ceux-ci, séduisent par la profondeur de leurs analyses fécondes.

Les prises de position de ses confrères universitaires togolais de la diaspora, véritables intellectuels comme Pascal ADJAMAGBO ou Pierre ADJETE, ne souffrent d’aucune confusion et sont strictement dirigées contre la dictature, et non contre des opposants. Quant à Kako NOUBOUKPO, ses analyses notamment sur le franc CFA, font la fierté des togolais et des africains. Pour autant, cela ne lui donne pas la grosse tête. D’autres universitaires comme le professeur Michel Adovi GOEH-AKUE ou le professeur David Ekoué DOSSEH apportent leur contribution à l’avènement de la démocratie au Togo sans se muer en donneur de leçons.

Qu’a donc inventé Comi Toulabor pour « emmerder » la République et se prendre pour ce qu’il n’est pas ? Monsieur Comi TOULABOR, publie des sottises, indignes de la qualité d’un chercheur et de l’orthodoxie inhérente à la fonction. Ce prétendu chercheur s’entête à vouloir régler des comptes à ses compatriotes contre lesquels il nourrit, sans fondement, une haine viscérale apparemment inextinguible. Enivré, grisé par le titre dont il tente de se prévaloir, monsieur Comi TOULABOR, en oublie les vertus d’intégrité et d’élégance morale y relevant. La caque sentant toujours le hareng !

Aujourd’hui avec un titre pompeux de chercheur, acquis laborieusement, monsieur Comi TOULABOR, pense tenir là, une bonne occasion de se venger d’un passé maudit qui, le poursuit de ses nombreuses insatisfactions. Dès lors, il se croit autorisé à publier des bêtises indignes du rang dont il se gargarise, maladroitement, à tort et à travers.

Sied-il à un chercheur de publier des âneries à seule fin de nuire, de dénigrer et tenter d’égarer les populations ? Pseudo intellectuel malhonnête, après l’UFC auquel il a fait des yeux doux, avant de se répandre en injures sur son leader, il a répété la manœuvre avec l’ANC, dont il dénigre le leader, parce que désormais il roule pour le PNP de Tikpi ATCHADAM, qu’il pense pouvoir circonvenir le moment venu, étant convaincu de sa supposée supériorité intellectuelle.

Comi Toulabor fait pitié, quand, larmoyant, toujours procédant par des affirmations injustifiées, il parle d’absence de cabinet de réflexions au sein des partis politiques de l’opposition, – ce dont il ne peut rapporter malheureusement la preuve – arguant qu’ailleurs, sous d’autres cieux, des experts et autres conseillers en communication, expatriés comme nationaux, œuvrent aux côtés des partis politiques qui en comprennent la nécessité.

Les mobiles de sa hargne et de sa malveillance ne relèveraient-ils donc que du désir de satisfaction d’un égo hypertrophié ? Ou bien, est-ce faute d’avoir pu monnayer sa prétendue expertise, qu’il s’en prend au plus grand parti de l’opposition togolaise, qu’il ose comparer à un char sans chenille ? C’est vainement qu’il tente d’égarer l’opposition togolaise, au nom d’un intellectualisme éculé, pensant pouvoir exercer sur les esprits, l’hégémonie d’une pensée suspecte.

En tout cas, il est de notoriété publique que l’ANC et son Chef, obsèdent monsieur Comi TOULABOR. On se rappelle qu’il est honteusement parti de l’ANC dont les cadres l’avaient mis à mal, en lui disant son fait, sans ambages. L’agressivité de monsieur Comi TOULABOR contre l’ANC ne date donc pas d’aujourd’hui, mais du temps où, il fut expliqué au grand politologue qu’il prétend être, ce qu’est un parti politique.

C’est pour avoir, en effet, rendu public un article intitulé, « Jean Pierre FABRE, bientôt dans le lit de Faure GNASSINGBE » article dans lequel, il calomniait et dénigrait comme d’habitude le parti et les membres du bureau de la Fédération Internationale dont il était le Vice-président, que monsieur Comi TOULABOR a été rappelé à l’ordre et invité à faire preuve de correction, de respect et de discipline.

Prié de formuler désormais ses critiques au sein du parti, et non d’en faire étalage dans la presse où, ses collègues en prennent connaissance en même temps que le public, monsieur Comi TOULABOR a invoqué, l’indépendance que lui conférerait sa qualité de chercheur, pour justifier son attitude incompréhensible, contraire aux pratiques élémentaires et aux règles de bon fonctionnement de toute formation politique.

Ce raisonnement exécrable, a suscité un tollé général comme l’on peut s’en douter. Comi Toulabor n’avait pas d’autre alternative que de se soumettre à la discipline du parti, ou se démettre. Il partit donc de l’ANC et depuis lors, il voue une haine animale à ce parti qu’il n’a de cesse de diffamer. Monsieur Comi TOULABOR oubliait tout simplement qu’il était membre du parti comme militant et non comme chercheur. Il ne pouvait par conséquent, s’autoriser de publier des réflexions critiques du parti sur la place publique.

Ainsi que ses collègues ont eu à le lui dire, au Togo comme partout ailleurs, des avocats, des médecins, des enseignants, des universitaires et autres chercheurs militent dans les partis politiques. Ils y font nécessairement preuve de la conduite indispensable au bon fonctionnement de toute organisation. Ils y font preuve d’humilité et ne se prévalent pas de leur qualité pour se croire supérieurs à leurs collègues. Que deviendrait le sentiment de supériorité exacerbé de ce nombriliste Comi TOULABAR, le jour où, enfin, il atteindrait le rang de professeur des universités qu’il a tant de mal à conquérir ?

Après son départ de l’ANC, dans un article daté de Mai 2016, et cosigné avec un certain Tido BRASSIER, intitulé « l’ANC ou l’art d’écraser un moucheron avec un marteau piqueur », Comi Toulabor traite Jean-Pierre FABRE de personnage terne, essentiellement préoccupé par l’argent. Dans ses propos, véritable déluge de mensonges, summum de la calomnie et du dénigrement, il s’échine en vain, à démontrer que l’ANC est un parti sans conviction, ignorant sa nature social démocrate, un parti qui marchande et vend sa participation aux élections tant législatives que présidentielles. Ce qui ferait de l’ANC, selon lui, le parti le plus riche de l’opposition togolaise.

Dans la même publication, Comi Toulabor s’est également répandu, sans aucune raison, en trivialités sans pareilles sur un ancien ami, sincère et loyal, avec lequel il avait rejoint l’ANC, le traitant de taupe au sein de ce parti. Ennemi déclaré de l’ANC, monsieur Comi TOULABOR devrait normalement, plutôt se réjouir de l’infiltration d’une taupe au sein de ce parti. En quoi donc est-il concerné par la présence d’un espion au sein d’un parti qu’il voue aux gémonies ?

Toujours selon monsieur Comi TOULABOR, l’ANC serait la « mouche du coche ». Quelle idée, par-là, entend-il exprimer ? Veut-il sous-entendre que l’ANC s’activerait pour rien, aux fins de s’attribuer le mérite des victoires acquises de haute lutte par les autres partis ? Lesquels ? N’en déplaise à monsieur Comi TOULABOR, par son déploiement impressionnant sur toute l’étendue du territoire, par sa structure, son organisation, par le travail colossal empreint de rigueur d’abnégation et d’esprit patriotique fourni par ses responsables, par le nombre important de ses militants et la discipline rigoureuse qui le caractérise, l’ANC reste une organisation forte, un des maillons essentiels et fiables de la lutte contre la dictature.

Obsédé par son envie de voir Jean-Pierre FABRE disparaître des écrans politiques et célébrant déjà l’avènement de son remplaçant, le tout nouveau fraîchement débarqué, « TIkpi Just Dropped », Tikpi ATCHADAM, le politologue Comi TOULABOR, s’égarant dans une de ses analyses tendancieuses, dont il a le secret, dans un article publié par le journal en ligne français Médiapart, aux lendemains du 19 août 2017, pose la question de savoir qui de Jean-Pierre FABRE ou de Tikpi ATCHADAM assurera dans un proche avenir le leadership de l’opposition ?

La formulation d’une telle interrogation de la part Comi TOULABOR, alors inopportune, traduit son ignorance, sa méconnaissance profonde de ce qu’est un parti politique. Autrement, jamais, il n’aurait pu se permettre de mettre en parallèle, les leaders de l’ANC et du PNP, deux partis aux antipodes l’un de l’autre, l’un très structuré, plus ancien, ayant des racines profondes, connu de longue date pour sa résistance face à l’oppresseur et ses hauts faits d’armes, et, l’autre, dernier né de la contestation populaire.

Où se cache aujourd’hui le leader du PNP, dont les incohérences et autres caprices mettent à mal la cohésion de la C14 et compliquent l’avancée de la lutte. Ses jeux de cache-cache entre Lomé, – où il vit actuellement -, Accra, – où il a séjourné un moment – et enfin Conakry – où il envisage de s’auto exiler définitivement, sèment la confusion au sein de l’opinion. Comi TOULABOR le grand politologue illuminé, semble être le seul à ne pas s’en émouvoir. La gravité du moment et les enjeux de la lutte s’accommodent mal de toutes ces supercheries. Le leadership se construit sur la durée, la détermination, la rigueur et l’ancrage à un parti politique fort, structuré et représentatif de toutes les composantes de la nation.

L’ANC et ses leaders, toujours présents sur le terrain, étaient là au commencement et, n’envisagent nullement leur exil, conscients qu’ils sont, du rôle à jouer en tant que cheville ouvrière de l’opposition démocratique. C’est plutôt monsieur Comi TOULABOR, qui fraye en ce moment avec la mouche du coche de la scène politique togolaise. Et il se sent bien malheureux de n’avoir pas le moindre rôle à jouer au sein d’un parti politique digne de ce nom. Que diantre ne crée-t-il pas son propre parti politique pour y expérimenter ses idées « géniales !? »

Sous sa plume, on a pu encore lire, pèle mêle, ici et là, des énormités du genre : « De par son origine, il (Tikpi ATCHADAM) est également méprisé par l’opposition traditionnelle de sud pour qui, avec ses scarifications traditionnelles, il est l’image même de la sauvagerie. » Quel goujat ! Rien n’autorise de telles bassesses de la part d’un adulte, supposé avoir reçu de l’instruction et une bonne éducation. Ainsi, il a osé soutenir, entre autres fanfaronnades, dans une auto-interview, comme il en a l’habitude, publiée par l’hebdomadaire, « Golfe Info », il y a quelques années, que « le débat est difficile au sein du bureau de la Fédération Internationale de l’ANC, parce que mes collègues de ce bureau, n’ont pas mon niveau intellectuel ! »

La frustration née de son incapacité, aussi bien physique que morale, à entretenir de saines et durables relations avec ses semblables, y compris ses frères de lumière initiés des bois sacrés français et la gente féminine, peut–elle justifier, à elle seule, sa détestable propension à recourir, opiniâtrement, à la vulgarité et à la méchanceté ?

Ancien membre de l’ANC, il a l’indécence, aujourd’hui, de dire que l’ANC n’est pas un parti politique. Le dire et le répéter, comme il se plaît à le marteler, suffit-il à convaincre tout un peuple persuadé du contraire ? Bien piètre recours donc, que celui d’un prétendu chercheur acharné à asséner des affirmations, toujours sans fondement, relevant de l’injure, en guise d’argumentation sans queue ni tête, à une question bien précise.

L’exemple patent de sa mauvaise foi, de la subjectivité de ses analyses en raison de sa méconnaissance criarde des réalités sociopolitiques du Togo, est illustré par son incapacité à répondre à la dernière question de son auto interview « … Dites-nous ; quelles alternatives pour l’opposition en 2020 ? »

Loin de répondre à la question posée, n’ayant rien à dire, étant foncièrement malhonnête et méchant, monsieur Comi TOULABOR, se contente d’affirmer que l’ANC n’est pas un parti politique. Il se persuade alors que le lecteur le suivra, pour la seule raison que, pour toute argumentation, il martèle : « je le dis et je le répète », comme si sa grossière insistance pouvait tenir lieu de démonstration, de nature à emporter toute conviction.

Incapable donc de répondre à la question et pour masquer son incompétence, honteusement, et sans aucun égard pour ses concitoyens, il élude l’interrogation, pour se répandre en injures et dénigrements sur l’ANC, le seul parti politique qui le dérange et lui fait peur, au point de lui faire perdre la raison et certainement le sommeil.

Il est donc loisible à ce triste sire de décréter du haut de sa supposée grandeur, que l’ANC, n’est pas un parti politique, mais encore faut-il, comme déjà dit antérieurement, que monsieur Comi TOULABOR sache ce que c’est qu’un parti politique, les règles auxquelles les membres y sont astreints. Autrement, jamais, il ne lui serait pas venu à l’idée, outre la liberté qu’il s’autorise de baver sur les membres du parti auquel il appartient, de débarquer a réunions du bureau national, accompagné de son épouse et de son chauffeur, dont il voulut imposer la présence.

Et il est à tout le moins curieux que Comi TOURNESOL, chercheur indépendant, supposé en quête de vérité, ne s’émeuve pas des incohérences, des gamineries et des prises de position unilatérales et autres excentricités d’un parti, membre de la C 14, dont les dangereuses dérives communautaristes défraient, en ce moment, la chronique au Togo.

Vu l’énormité de ses propos relevant de la plus haute irresponsabilité, les togolais attendent toujours en vain, que monsieur Comi TOULABOR, s’explique sur son affirmation selon laquelle les scarifications de Tikpi ATCHADAM effaroucheraient les membres d’une opposition traditionnelle du sud, ainsi que, ce qu’il entend par le vocable tendancieux «d’opposition traditionnelle du sud» lui, qui, affirme que, les togolais dans leur ensemble «ne se laissent plus chanter les chansons nauséeuses du tribalisme et d’une certaine opposition.»

Quelle preuve monsieur Comi TOULABOR apporte-t-il au soutien de son affirmation selon laquelle, l’ANC hait le PNP ? Croit-il qu’il lui suffit de décréter cela, encore une fois dans le but de calomnier l’ANC, pour que les togolais le suivent ? Les interrogations que suscite aujourd’hui le PNP, après ses errements, ses cafouillages et prises de positions défavorables à la mobilisation sont-elles dues à une haine que lui vouerait l’ANC?

Jusque-là, sympathisant souterrain du PNP, paresseux mal informé des réalités du Togo, monsieur Comi TOULABOR, plutôt célèbre pour ses fadaises, décrète qu’il est une figure très connue de la scène politique togolaise, pour tromper le lecteur et se permettre ainsi de mieux déblatérer sur le dos d’un autre parti politique, dont il envie la prééminence, sous son funeste manteau de minable chercheur. Dégoûtant de la part d’un intellectuel !

En définitive, Comi TOULABOR, autoproclamé figure de proue de la scène politique togolaise, ne vaut guère mieux que messieurs Anani SOSSOU, Firmin TEKO AGBO, Jean Paul AHOUELETE AGBO … etc.., ces misérables plumitifs primaires, stipendiés par le régime RPT/UNIR, et, lancés aux trousses des leaders de l’opposition, surtout de Jean-Pierre FABRE, à seule fin de noircir leur image et soutenir la dictature.

Il y a gros à parier, que dans un proche avenir, lorsqu’il n’aura pas trouvé son compte au PNP, comme il l’espère, Comi TOULABOR s’emploiera, sans vergogne, à casser du sucre sur le dos de Tikpi ATCHADAM, comme il l’a fait, dans un passé récent avec l’UFC, et, se plaît, à le faire aujourd’hui, avec l’ANC de Jean-Pierre FABRE.

Monsieur Comi TOULABOR rempli de haine, de fiel et d’amertume à l’égard de l’ANC, passe son temps à parler de choses qu’il ne connaît pas, de choses dont il n’a aucune maîtrise. Pour lui, qui se réclame d’être un fin analyste politique, – ce qu’il est loin d’être- il est surprenant, d’affirmer, que l’ambition de Jean-Pierre FABRE est d’être Premier Ministre d’une transition, car rien dans les actes de Jean-Pierre FABRE, ne peut confirmer une telle affirmation saugrenue. Et s’il s’était donné la peine de lire un tant soit peu, le document rendu public par la C14 sous le titre « proposition de sortie de crise de la C14 », ou de mener une enquête plus sérieuse sur les ambitions de Jean-Pierre FABRE, il n’aurait pas émis pareille sornette.

Décidément, les conclusions de monsieur Comi TOULABOR, sont très en deçà de celles de quelqu’un qui se prétend de son niveau. Heureusement qu’il dû quitter le séminaire. Quel prêtre malhonnête et dénué d’esprit il aurait fait, méchant comme il est !? Monsieur Comi TOULABOR tente-t- il également de reprocher à Jean Pierre FABRE le fait de connaître des chefs d’Etat actuels depuis le temps où, ceux-ci étaient dans l’opposition dans leurs pays ?

Quel est l’intérêt de cette lamentable accusation portée contre monsieur FABRE, d’être l’ami d’un ancien opposant devenu président de la république ? Non moins affligeante est la pitoyable accusation selon laquelle Jean-Pierre FABRE constituerait un trio avec Alfa CONDE et Faure GNASSINGBE, alors que ce dernier est l’incarnation d’un régime que Jean-Pierre FABRE n’a de cesse de combattre depuis des décennies. Ce qui lui vaut les persécutions dont il est l’objet.

Comment monsieur Comi TOULABOR, compte-t-il faire avaler aux togolais mobilisés et consciencieux, que monsieur Jean-Pierre FABRE, cet adversaire déclaré et acharné du pouvoir RPT/UNIR, celui-là qui est toujours inculpé depuis 5 ans dans la sordide cabale des incendies des marchés, à laquelle il est totalement étranger, celui-là dont la maison a fait l’objet d’une attaque des Forces Armées Togolaises, à l’arme lourde, en septembre 1998, et dont la voiture a été prise en chasse et esquintée, à plusieurs reprises, par les forces de l’ordre, comment Jean Pierre FABRE, cette bête noire du régime RPT/UNIR, peut –il, malgré tout ce qu’on lui fait subir, être un allié de ce régime, qu’il n’a de cesse de combattre ?

Cette idée loufoque ne peut être que celui d’un esprit dérangé qui passe le plus clair de son temps à tirer à boulets rouges sur Jean-Pierre FABRE. Ce qui fait plutôt de lui-même, et non de Jean Pierre FABRE et l’ANC, un allié à tout le moins objectif du pouvoir RPT/UNIR en place au Togo. Et l’on se rend bien compte aujourd’hui que monsieur Comi TOULABOR, est un grand mythomane incapable de structurer sa pensée. Car, si comme il l’affirme, Alpha CONDE est l’allié de Jean Pierre FABRE qui haïrait Tikpi ATCHADAM, pourquoi Tikpi ATCHADAM, s’emploie-t-il depuis quelque temps, à chercher à quitter son exil volontaire d’Accra où, il a séjourné un moment, pour rejoindre Conakry auprès d’Alpha CONDE, où il pourrait être en danger, Alpha CONDE pouvant lui nuire, pour faire plaisir à son ami Jean Pierre FABRE ? Pauvre Comi Toulabor !

Pourquoi Comi TOULABOR déploie t-il autant d’énergie à démolir Jean Pierre FABRE et l’ANC qui, selon lui, serait haï du peuple ? Point n’est donc plus besoin de décrier ou de dénigrer l’ANC, si tant est qu’il est déjà haï par le peuple. Pour sa gouverne, monsieur Comi TOULABOR doit savoir une bonne fois pour toutes, que l’ANC, véritable émanation du peuple togolais, a pris racine, au sein de ce peuple qui, le nourrit par capillarité, de sa sève vivifiante et perpétuelle.

Toute arme forgée contre Jean Pierre FABRE ou l’ANC est sans effet. Par contre, ce qui pend au nez à Comi TOULABOR, c’est son autodestruction, sa totale consumation par son propre poison, sa haine aveugle et injustifiée de la personne de Jean Pierre FABRE. Cependant, les togolais ne sont pas dupes des sordides machinations de monsieur Comi TOULABOR contre le leader de l’ANC, qui, tel un poisson dans l’eau au sein du peuple dont il est à la fois l’émanation et l’incarnation, n’a que faire de puériles et vaines critiques.

Honte à monsieur Comi TOULABOR, triste et minable chercheur, isolé dans un lugubre cabinet au soir de sa carrière, et qui, angoissé, pense guérir de ses nombreux complexes en se triturant les méninges, tout en chantant la complainte du vers solitaire. Pauvre Edo Raphaël BANYABA, beaucoup plus à plaindre qu’autre chose !

Honte à monsieur Comi TOULABOR qui, tel ce misérable batracien, vivant dans la fange et s’en repaissant, de sa bave, s’emploie vainement à atteindre l’oiseau sur la branche. Il n’ignore pas que la bave du crapaud n’atteint jamais la blanche colombe. L’ANC compte en son sein d’éminents membres, sérieux et responsables pouvant légitimement se flatter d’avoir un meilleur niveau que celui de monsieur Comi TOULABOR.

Indépendamment de tous ces cadres, nombreux sont également les sympathisants de l’opposition démocratique de la diaspora ou résidant au Togo, en lutte pour le changement, choqués, écœurés, dégoutés, par les extravagances, les injures gratuites, notamment celle concernant « les scarifications de Tikpi ATCHADAM, qui, feraient de lui un sauvage aux yeux de l’opposition traditionnelle du sud, », qui sont désormais disposés à apporter, à tout moment, la contradiction aux ennemis du peuple togolais, dont monsieur Comi TOULABOR. En tout cas, ils n’entendent plus garder le silence face à de ridicules persifleurs, comme Comi TOULABOR, batifolant dans le champ stérile de l’intoxication.

Le lecteur non partisan comprendra aisément que, si le cas de Comi TOULABOR ne relève pas de la psychiatrie, il urge, cependant, de rechercher ailleurs, les raisons profondes de tant de vaines frustrations qui le noient dans la déraison et le plongent dans la politique fiction.

Mousbaou Tchadjobo

Via : Togo-online. co.uk

27Avril.com

2 COMMENTS

  1. Nous nous trompons pas de guerre. L’heure n’est pas à la division de l’opposition s’il vous plaît les aînés !

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