Si l’opposition historique s’en engagée en faveur du dialogue, les nouveaux venus sur la scène politique comme le PNP de Tikpi Atchadam n’y sont pas favorables.
‘Nous manifestons depuis le 19 août pour arracher le pouvoir sans pour autant passer par un quelconque dialogue avec le régime de Faure Gnassingbé’, a fait savoir mardi Ouro Djigba Tchatchikpi, l’un des conseillers du PNP.
Du côté de Jean-Pierre Fabre, la partition est radicalement différente.
‘Nous irons bel et bien à ce dialogue et les aspirations du peuple seront bien défendues’, a-t-il confié. Même tonalité dans les propos de Brigitte Johnson Adjamagbo, secrétaire générale de la CDPA et présidente de la coalition des 14 partis d’opposition. ‘Nous sommes tous conscients que plus vite on règle cette crise, plus vite on aura libéré la voie pour le développement de notre pays’, a-t-elle déclaré.
Les autres responsables politiques ne disent pas autre chose. C’est le cas de Yawovi Agboyibo (CAR), Paul Dodji Apevon (FDR) et Antoine Folly (UDPS).
La pourparlers doivent s’ouvrir le 15 février.
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