USA: un congolais tue ses deux enfants par vengeance

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Jean Pierre Ndossoka, c’est le nom du père assassin d’origine congolaise qui a violemment arraché la vie à ses deux enfants d’un et de huit ans. D’après Le Houston Chronicle, l’homme s’est rendu au domicile de son ex-femme Sabine Ntongo il y a quelques jours, ce dernier qui avait fait venir sa femme aux Etats-Unis et leurs deux enfants ne supportait pas la rupture avec Sabine.

Cette dernière s’était mise avec un autre homme et ne comptait pas revenir sur sa décision. Une position de Sabine Ntongo que l’homme n’arrivait pas à supporter. Pris d’une forte colère, Jean Pierre Ndossoka s’est rendu au domicile de son ex-épouse où il a assassiné leurs deux enfants

Sabine Ntongo la trentaine sonnée est une femme inconsolable depuis qu’elle a découvert la scène macabre à Houston.

Sur la scène de crime, la police a découvert une note qui avait été écrite à la main en français et un couteau ensanglanté près du lit où les enfants étaient morts. Dans la note, Ndossoka a révélé qu’il avait l’intention de mourir avec ses enfants et dit à sa femme qu’elle prendrait “le fardeau” de leurs âmes.

Mais finalement, Ndossoka n’a pas eu le courage de se donner la mort. Il a plutôt pris la fuite. Mais il a été rattrapé quelques jours après son forfait à Clear Lake Régional, un hôpital de la place. Puisqu’il s’était tiré une balle au pied, il voulait qu’on lui administre des soins à cet effet.

Au cours de l’interrogatoire, Ndossoka a avoué le meurtre des deux enfants, il a admis qu’il a asséné des coups de poignard aux enfants jusqu’à ce que mort s’en suive. Ndossoka a aussi révélé les derniers mots de ses deux enfants. Marcel (8 ans) qui pleurait lui a dit, “Papa, je suis désolé” . Anna-Belle par contre âgée de un an se contentait de pleurer jusqu’à ce qu’elle soit aussi assassiné par le papa criminel.

Accusé de meurtre avec préméditation, Jean-Pierre Ndossoka risque la peine de mort. Sabine Ntongo était mariée à Jean-Pierre Ndossoka depuis six ans et ils étaient récemment séparés.

Source : www.cameroonweb.com