Inauguré officiellement en octobre 2018, le poste juxtaposé de Noépé-Akanu (frontière Togo-Ghana) n’est toujours pas opérationnel.
Les installations qui s’étendent sur 17 hectares ont été financées par l’Union européenne (UE) pour 7 milliards de Fcfa.
Sa mise en service avait été retardée de 4 ans en raison de problèmes techniques et logistiques.
Ce poste frontière se veut le symbole de l’intégration économique de l’Afrique de l’Ouest.
Pour lever les derniers obstacles à son ouverture, responsables togolais et ghanéens se sont retrouvés vendredi à Lomé pour évoquer les défis opérationnels et techniques.
La réunion a rassemblé la douane, les services d’immigration et tous les services impliqués dans le futur fonctionnement ce ces équipements.
De petits aménagement devraient être réalisés, dont l’agrandissement d’un rond-point qui mène aux postes de contrôle. Il est trop étroits pour laisser passer les gros porteurs.
Lomé et Accra se sont accordés sur le montant de la facture, 2 millions de dollars.
Concernant la date d’ouverture, rien n’a été annoncé pour le moment.
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