En conférence de presse ce mercredi à Lomé, les Femmes Pyramide qui militent contre la vie chère au Togo ont relancé leur mouvement.
Elles ne comptent pas en restent là, en croisant les bras et en contemplant passivement l’indifférence notoire dont fait montre le gouvernement togolais vis-à-vis de la crise actuelle qui sévit au Togo. Crise caractérisée par la hausse des prix des produit des produits de premières nécessités, l’inflation, la cherté de vie, l’augmentation et l’apparition des nouvelles taxes…
Devant la presse mercredi, ces Femmes Pyramide ont remercié tous ceux qui ont observé le premier mouvement « Togo noir » tenu du 12 au 18 juillet derniers.
Elles reconduisent encore le mouvement du 26 juillet au 1er août 2021 pour une fois encore attirer l’attention du régime sur la situation de crise aggravée que traverse le pays et l’amener à prendre en compte le cris de détresse du peuple.
Notons que par cette action, ces femmes exigent, entre autres, la suppression de toutes les augmentations de prix sur l’essence, le péage ; des mesures urgentes contre la faim et la baisse immédiate des prix des denrées de première nécessité ; la dépression fiscale dans les marchés et sur les produits de première nécessité ; des mesures sociales d’urgence pour les femmes et les plus couches vulnérables, notamment les personnes âgées et les enfants ; les mesures urgentes de prise en charge gratuite des premiers soins de tous les malades ; l’augmentation du salaire minimum garantie à 50 000 F CFA et l’emploi pour les jeunes ; la cessation immédiate du harcèlement…
Source : icilome.com