Camus Ali, dirige depuis plusieurs années, le journal en ligne Lynx Togo. Depuis plusieurs années, il voue une haine inextinguible à Jean-Pierre Fabre. Son journal est à la disposition de qui veut pourfendre Jean-Pierre Fabre. Ainsi, il y a plusieurs années, les colonnes de son journal avaient servi de cadre à une attaque en règle, des plus vulgaires, de Jean Yaovi Dégli, contre Jean-Pierre Fabre.
Camus Ali vient de récidiver. Il y a une dizaine de jours, il s’est prêté à un simulacre d’interview avec Comi Toulabor pour permettre au chercheur, intelligent autoproclamé, de déverser un torrent de boue sur Jean-Pierre Fabre.
Face au tollé suscité par cette opération peu journalistique, Camus ALI , déclare pour justifier son parti pris délibéré, dans l’outrage, dont il s’est rendu coupable avec Comi Toulabor, qu’il s’agit d’aider le Togo, pas un parti politique, encore moins son chef. Cet argument simpliste et dérisoire suffit-il, pour s’affranchir des règles professionnelles et de déontologie, auxquelles tout journaliste véritable reste soumis?
C’est précisément parce qu’il s’agit d’aider le Togo à se débarrasser de la dictature clanique cinquantenaire des GNASSINGBE, ainsi que de tous les vieux démons l’empêchant d’y parvenir, et qui ont pour nom, médisance, calomnie et lâcheté, qu’il nous faut, à chacun et à tous, faire preuve de courage, de lucidité et d’honnêteté, en rejetant tout discours, toute attitude visant à retarder l’aboutissement de la lutte de libération du peuple togolais.
Nos savants, chercheurs et autres intellectuels, confortablement installés dans leur exil doré, sont mal venus, de faire la morale à ceux qui, au quotidien luttent pour le renversement de l’ordre dictatorial, et l’avènement de l’alternance démocratique au Togo.
Le citoyen ordinaire s’est toujours interrogé sur l’intérêt, que certains avaient à calomnier et couvrir d’opprobre les leaders de l’opposition, sans aucune preuve, pendant que les tenants de l’ordre dictatorial, dont les actions criminelles sont connues de tous, quant à eux, vivent tranquilles. En quoi les médisances, les calomnies et diffamations d’un certain Comi Toulabor sur Jean-Pierre FABRE, aident – elles la lutte de libération du peuple togolais ? Et que gagnent certaines personnes, pourtant bien bien avisées, à faire la part belle au mensonge, à la calomnie et aux propos malveillants ?
Affirmer tout de go, que Comi Toulabor a « dénudé » le patron de l’ANC, comme le fait le journaliste autoproclamé de TOGO ACTUALITE POLITIQUE, c’est reconnaître indirectement que Comi Toulabor dit la vérité, et que Jean-Pierre FABRE serait effectivement coupable de tout ce dont il est accusé, sans fondement. Relayer par des organes de presse quels qu’ils soient, des propos injurieux et diffamatoires contre une personne est honteux. Au surplus, s’essayer à affaiblir le droit de réponse de cette personne par des artifices de bas étage, c’est faire offense à l’intelligence du lecteur.
Prendre prétexte, que c’est du Togo qu’il s’agit, pour manquer d’objectivité et de professionnalisme, est scandaleux. La dynamique de Monseigneur Kpodzro n’a pas fait autre chose, invoquant l’intérêt supérieur de la nation, pour embarquer, arbitrairement le pays dans sa folle équipée dictatoriale. En quoi le soutien au dénigrement d’un chef de parti, fait-il avancer la lutte contre la dictature ? Les togolais assistent atterrés et impuissants, à la dictature d’une prétentieuse minorité détentrice d’un savoir douteux et corrupteur. Serait-ce donc désormais, peine perdue de se défendre d’accusations infondées venant d’un Universitaire connu ayant publié des travaux ? Lesquels ?
La force de l’argumentation, réfutant preuve après preuve, de façon pertinente les accusations mensongères n’aurait aucune importance. Au Togo, il suffit qu’une accusation soit portée contre un individu, en l’occurrence, un chef de parti, pour qu’elle soit vraie, a fortiori, quand l’accusation, sans preuve, sans fondement, est faite par un chercheur, pourtant supposé, bien au fait de la rigueur scientifique, proscrivant tous errements et autres divagations de l’esprit. Un chercheur, qui sauf le respect qu’on lui doit, n’a encore rien rapporté à son pays, dont il a renié la nationalité, depuis longtemps.
Sinon que des théories « bidon », sorties droit de son imagination perturbée, parlant de l’opposition traditionnelle du sud, des prétendues rivalités ethniques et des cicatrices raciales de Tikpi ACHADAM, qui effraieraient. Se gardant bien de préciser qui.
Les rares publications de Comi Toulabor, empruntent invariablement des clichés à la sexualité, avec des expressions truculentes et délirantes. Une vraie recherche au sujet de ce penchant obsessionnel, révélera qu’il procède de fantasmes, de désirs refoulés, jamais assouvis. Le pauvre chéri !
D’où, la solitude du chercheur, sa peine à trouver quoi que ce soit, sa profonde frustration, sa haine, et…et, cette hargne contre ceux, qu’ils a toujours enviés et sur lesquels, il voudrait bien se convaincre, aujourd’hui, de tenir une quelconque revanche. Sinon d’où sort-il ce mec, pour porter des jugements de valeurs sur Jean-Pierre FABRE, dont on connaît l’œuvre sur le terrain. Jean-Pierre FABRE, malmené, maltraité aussi bien par ceux qui se disent de l’opposition, que par le pouvoir dictatorial corrupteur et corrompu. Jean-Pierre FABRE accusé à tort d’être vendu, n’a jamais cru devoir, fuir pour aller jouir paisiblement des trente deniers que lui auraient nuitamment apportés Mgr KPODZRO en personne.
Est-ce là, manière savante d’intellectuels, de combattre la dictature des GNASSINGBE? De toutes parts, l’ANC subit des tirs groupés, des tirs croisés, aussi bien de ses prétendus partenaires, que du pouvoir dictatorial, qu’elle n’a de cesse de combattre. L’ANC n’en a cure. Elle continue son petit bonhomme de chemin, convaincue que, c’est bien parce qu’elle dérange, gêne les uns et les autres aux entournures, qu’elle est la cible de tant de personnes envieuses, donneuses de leçons, ouvriers de la dernière heure. Le désir du patron de l’ANC, c’est de voir toutes ces gentilles personnes, descendre dans l’arène, où l’on essuie autre chose, que des injures d’intellectuels mal lunés, mais, de vraies balles d’une dictature impitoyable, qui broie et qui tue.
Silence donc ! Au Togo, la dictature continue de tuer. Il est inutile de demander à Camus Ali de quel camp il est. De celui, déclaré, des intérêts Togo, ou plutôt de celui de ses adversaires et des forces occultes? Quel objectif, Camus Ali, poursuit-il donc, avec des interviews alibi, dont il est coutumier?
Mais, la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe! Tous les pourfendeurs et autres détracteurs de l’ANC, devraient pourtant le savoir, depuis le temps qu’ils s’y essaient tristement.
Bertin Yaovi Agbada
Via LynxTogo. info
Source : 27Avril.com
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