La dictature militaire a encore frappé. Après l’arrestation abusive des opposants politiques, c’est, depuis le 29 décembre 2020, le tour d’un journaliste en la personne de Carlos Ketohou, directeur de publication du journal L’Indépendant.
Il est entre les griffes de la maréchaussée, comme un malfrat, pour un article incriminant des ministres femmes cleptomanes dont il a promis de révéler les noms après une enquête approfondie.
Si le gouvernement se sent injustement indexé, un simple droit de réponse suffit à tourner la page. Il y a eu dans ce pays des morts d’hommes sans que la justice n’ait osé bouger le petit doigt. Des enfants ont même été fusillés en toute impunité.
Après le multipartisme, c’est au tour de la liberté de presse d’être piétinée par la satrapie. L’on e-
Source : icilome.com