Dans le but de construire une Nation unie et solidaire, les responsables des partis membres du Groupe des Républicains et Ecologistes du Togo (GRET), porté sur les fonts baptismaux mardi dernier, tendent la main à la coalition des 14 partis de l’opposition togolaise. « L’essentiel c’est de se départir de la radicalisation », a indiqué Abass Kaboua.
A peine trois (3) jours après sa création, l’agenda du Groupe des Républicains et Ecologistes du Togo (GRET) est déjà saturé. En dehors des rencontres imminentes avec certains députés français pour des séances de travail, le troisième regroupement de l’opposition, qui voit le jour en cette crise sociopolitique, invite la coalition des 14 partis politiques de l’opposition à le rejoindre pour réfléchir à la résolution de la situation par d’autres moyens que le dialogue politique inter-togolais.
« Le dialogue en cours est mort avant d’être né en raison de la radicalisation des positions… Ce dialogue est fini… Il faut aller aux négociations », propose pour sa part Didier Amela, président par intérim du Front National (FN), l’un des partis membres du GRET. Rappelons que le GRET est composé de six partis politiques à savoir le Front National (FN), le Parti Ecologiste Panafricain (PEP) de Koffi Paley, le Mouvement des Républicains Centristes (MRC) de Frédéric Abass Kaboua, le Parti pour le Renouveau et le Progrès Social (PRPS) de Michel Mawu-Agbessi, le Parti Togolais pour la Jeunesse (PTJ) d’Almeida Amagan et le Parti d’Union pour le Développement Economique et Social (PUDES) de Binèzi Essoboziwè.
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