Tué dans son bureau au camp d’Agoè, dans la nuit du 3 au 4 mai derniers, le corps du commandant du premier Bataillon d’intervention rapide (1er BIR) n’est pas encore restitué à sa famille, parce qu’elle n’aurait pas fait la demande formellement.
On en sait un peu plus sur le pourquoi Toussaint Bitala Madjoulba, 52 ans, originaire de Siou, retrouvé mort dans son bureau, n’est pas encore inhumé dix semaines après le meurtre.
Si à ce jour, peu de personnes savent les circonstances exactes dans lesquelles cet officier supérieur des Forces armées togolaises (FAT) a été tué comme un vulgaire individu, on sait néanmoins, par l’intermédiaire d’un article publié sur le site internet de Radio France internationale (RFI), que s’il n’est pas encore enterré, c’est parce que ses proches n’ont pas encore fait la « demande » officiellement.
Une source aurait assuré à cette radio française qu’« aucun membre (de la famille) n’a introduit une quelconque demande » adressée aux autorités compétentes, demandant la restitution du corps du défunt.
« Nous travaillo-
Source : icilome.com