Togo – La tyrannie ploutocratique de la mafia

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« Si tu trembles d’indignation à chaque injustice, alors tu es un de mes camarades ».CHE GUEVARA

Citoyens du monde indignons nous contre l’enlèvement des militants politiques et des leaders politiques au Togo.

Indignons-nous pour sortir KAFUI BRIGITTE ADJAMAGBO JONHSON ET GERARD DJOSSOU

A*La république bananière RPT-UNIR de Gnassingbé
Permettez-moi de citer le pasteur Allemand Martin Niemöller .
« Quand ils sont venus chercher les Socialistes, je n’ai rien dit parce que je n’étais pas Socialiste. Alors, ils sont venus chercher les Syndicalistes et je n’ai rien dit car je n’étais pas Syndicaliste. Puis, ils sont venus chercher les Juifs et je n’ai rien dit car je n’étais pas Juif. Enfin, ils sont venus me chercher et il ne restait plus personne pour me défendre… »

Le plus long cauchemar de la république Togolaise
« LE RPT-UNIR, ce sont les valeurs et le logiciel de la mafia, c’est le parti arrogant de hold-up permanent et de l’arbitraire, c’est le règne d’un dogme lugubre du bréviaire des mensonges, c’est la chaîne la plus lourde que le togolais ait jamais portée »

Le RPT-UNIR semble avoir cumulé les tendances antagonistes larvées à une crise structurelle qui s’étend dans le quotidien des togolais de l’intérieur du pays à la diaspora.

La crise aiguë du logiciel stalinien est le produit des mauvais rapports existant entre le RPT-UNIR et son environnement, entre les togolais et les institutions.

Cette crise n’est pas seulement la crise d’un système RPT-UNIR, mais une crise de l’inconscient et du subconscient des dirigeants RPT-UNIR qui dira-t-on, n’est pas encore au niveau des valeurs de la civilisation Egyptienne, Grecque et même de la Rome la plus sanguinaire de toutes les civilisations antiques.

Ils n’arrivent pas à intégrer une conception de la vie et de l’homme née de la renaissance,
La violence obstrue est l’un des symptômes de cette crise.
L’autre symptôme fondamental est le non respect de la volonté d’un être, d’un peuple.

Tout est dans le mensonge, dans la manipulation, la violation de la volonté de l’autre, même de ses dernières recommandations.
La non relation avec les valeurs universelles, fausse le jeu de la compréhension et en résulte un sentiment de frustration et d’apathie des peuples du Togo et de la diaspora. Indignons-nous et combattons les pratiques de voyous de la mafia que le système Eyadema à travers son fils Faure Gnassingbé installe dans notre pré carré.

Je lance un appel à tous les artistes de la chanson togolaise de sortir des audios révolutionnaires pour galvaniser le peuple togolais du nord au sud afin de libérer notre pays.

Sonnons le cor pour avancer dans le combat inlassable de la révolution pour libérer nos familles, nos amis, nos cultures de ce régime sanguinaire

Vaillants résistants de la liberté et de la dignité ce n’est pas la victoire qui rend l’homme beau, c’est le combat.
Permettez-moi de citer Le général George Marshall
« se battre ne suffit pas.
C’est le courage qu’on met dans le combat qui en détermine l’issue.
C’est le courage qui remporte la victoire »

Formons la chaine de la résistance comme au temps de nos aïeux pour préserver nos legs dans la solidarité, la liberté et le travail.

B*FAURE GNASSINGBE ET LE PARTI UNIQUE RPT-UNIR
Eyadema et son fils veulent dans leur rêve construire une dynastie sous la protection des intérêts de l’extérieur au mépris des togolais, le bétail électoral alibi pour s’asseoir à la table des dirigeants du monde.

Faure Gnassingbé est décidé à bâtir à coups de crosses une dynastie d’Eyadéma, dissimulant la paupérisation organisée du peuple togolais, dans une misère noire, le manque de progrès social, économique, scientifique depuis 54 ans.
Aucune institution digne ne fonctionne correctement dans le pays,.
Tout est dévoyé, instrumentalisé.

Ce qui échappe aux togolais sous la conduite du baby doc togolais est encore beaucoup plus important que ce qui nous est connu.
L’instrumentalisation de l’ignorance du peuple et du bâillonnement des citoyens, semblent être un modèle harmonieux du rêve de la famille dictatoriale des Gnassingbé et de ses suppôts pour créer une société duale qui se décrit par des castes liées par un ordre autoritaire, un modèle fortement hiérarchisé, hiérarchique militaire, où l’appauvrissement des idées et des valeurs se conjuguent avec l’ordre arbitraire.

Une société sans mobilité sociale, sans égalité, sans fraternité, sans démocratie, ni liberté pour tous.
Une société dictatoriale où les Gnassingbé seront à jamais des dieux, des déesses et les suppôts des contremaîtres serviteurs nommés, promus, et mis en disgrâce comme dans la pyramide des maîtres et des esclaves.

Tantôt en rééducation dans les geôles du pouvoir pour maintenir le peuple togolais aujourd’hui dans le rôle non glorieux de l’esclave.
Le Togo ressemble à une autre dictature familiale comme la Corée du nord, sauf que la Corée du nord en 50 ans a formé des scientifiques militaires et a construit des industries militaires, développe en plus des médicaments pour les maladies de foie « koryo liquor », la boisson anti-oxydante, (extraits de 30 espèces de plantes) l’alcool sans gueule de bois (Hangover) et fabrique des armes de destruction massive.

La propagande politique :
L’élève, le régime rpt-unir en 2020 dépasse le maître allemand du régime nazi Paul Joseph Goebbels.

Au Togo il n’y a que de crimes économiques, prenez n’importe quelle autorité du régime rpt-unir, y compris celles de la Diaspora, regardez leur train de vie, le niveau social avant la prise de fonction et à la fin de la fonction.

La plupart est issue de famille très modeste, enfants de paysans, ou de fonctionnaires (militaire, instituteur).

Ils n’ont pas été héritiers, n’ont pas créé d’industries, de commerces, mais ils sont millionnaires avec des maisons en occident, au Togo, en Afrique, des femmes et des maitresses partout, leurs enfants sont scolarisés en occident, alors que les écoles au Togo n’ont pas de classes dignes de ce nom, des bibliothèques, des professeurs bien payés pour transmettre le savoir.

L’autre propagande du temps du père au fils, les routes sont biens bitumées, après 54 ans de gestion, le Togo n’a pas une seule autoroute, le seul pays de la sous région.
Le Ghana avait depuis l’indépendance son « motoway » le Sénégal, la cote d’ivoire, le Nigéria etc.

En 54 ans la capitale, Lomé à chaque saison de pluie, les habitants deviennent des batraciens, pour sauter d’une marée à une autre.
C*Réenchantons « Ablodé » par l’union Elite-Masse.

« En effet, par l’union, les petites choses grandissent, mais par la discorde les plus grandes s’effondrent. »

Je voudrais dire qu’il n’y a aucun jugement de valeur dans mes pensées qui entache cette notion de l’élite et de masse, aucun sens laudatif n’est attribué à l’un, et péjoratif à l’autre.
Il s’agit d’une commodité d’un vocabulaire concis.
Toute élite fait partie du peuple et l’élite est composée, de celles et ceux qui par le don naturel et le travail se sont distingués par le peuple.

Les élites doivent maintenir une stabilité de la relation élite-masse, à privilégier le changement, le leitmotiv des peuples togolais au dessus de vos narcissismes, à manifester par vos actions l’amour du peuple plus fort que la petite bataille des « égos ».

Demander à la diaspora des ressources humaines en informatiques, en médias, en lobbies, pour venir vous appuyer, et rendre opérationnelles vos démarches sur la place publique en face des peuples.

Créer l’adhésion de confiance pérenne par l’espérance à la défiance des souffrances personnelles et collectives.

Conclusion :
«Un combattant de la liberté apprend de façon brutale que c’est l’oppresseur qui définit la nature de la lutte, et il ne reste souvent à l’opprimé d’autre recours que d’utiliser les méthodes qui reflètent celles de l’oppresseur ». Nelson Mandela

Jacob ATA-AYI

Source : icilome.com