Ils ont profité de la reprise des cours après la trêve provoquée par le coronavirus pour faire leur buzz. Eux, ce sont les apprenants des lycées et collèges qui se sont lancés dans une dépravation des mœurs qui dépasse l’entendement. Sexe, drogue, alcool, violences sont devenus l’apanage de ces élèves qui en font l’usufruit. A qui la faute ?
Des images et vidéos des élèves en pleins ébats sexuels, escaladant les murs de l’école, jouant au jeu de carte et dé etc… sont devenues virales sur les réseaux sociaux depuis quelques jours. Si le sexe, l’alcool, la drogue et la violence ont toujours existé en milieu scolaire, ils sont désormais banalisés. La faute à la démission de certains parents dans l’éducation de leurs progénitures.
Les parents les premiers responsables…
Si on s’accorde sur la responsabilité partagée des dérives observées dans les écoles, il faut en toute responsabilité mettre également un accent particulier sur le rôle des parents. Il est légitime que l’éducation est la responsabilité des parents comme la formation est du ressort de l’Etat. Même si l’école est également après tout un lieu d’éducation, cette éducation a besoin –
Source : icilome.com