Depuis près d’une semaine, une vidéo de Claudia Sassou Nguesso en pleins ébats circule sur les réseaux sociaux ! La situation à pris une autre tournure jeudi matin. La diaspora annonce la mort d’un camerounais en France à la suite de cet événement, plus précisément son ex présumé ! Une affaire compliquée…
Claudia Lemboumba Sassou Nguesso la fille du président de la République du Congo vient rallonger la liste des victimes du Revenge Porn. Elle était loin d’imaginer que sa vidéo en plein « ya moo » ferait le tour des réseaux sociaux en un temps record ! Les hommes sont méchants…
Effectivement, depuis près d’une semaine, sa sextape se partage dans les groupes Whatsapp à travers le monde entier. Jusqu’ici, la go est restée silencieuse, aucun communiqué concernant cette affaire. Cependant l’histoire vient de connaitre un nouveau rebondissement.
A en croire le Kongossa qui vient de mbeng*, c’est le camerounais Jean-Pierre Ekalé le prétendu amant de Claudia Sassou qui aurait fait la vidéo avant de la publier sur les réseaux sociaux ! Il est important de préciser que la vidéo que nous avons reçue ne montre pas le visage du mbom, uniquement celui de Claudia Sassou.
On apprend via plusieurs forums que ce camerounais a été retrouvé mort dans la Seine en France. Une vidéo sur Youtube circule d’ailleurs concernant ce sujet même si elle ne présente pas son corps.
Si nous ne pouvons confirmer ces informations, il est tout de même important d’attirer l’attention des jeunes filles face aux dérives que les réseaux sociaux peuvent entraîner. Il ne fait pas bon de se filmer dans des positions compromettantes dans cette nouvelle époque ou tout peut se retrouver en un clic sur Facebook ! Ca n’épargne personne oh !
Pour rappel, Claudia Sassou Nguesso est conseillère spéciale à la présidence de la République du Congo Brazzaville. Elle est par ailleurs Responsable de la communication et des relations publiques de son père à la présidence. Elle est mère de deux enfants, c’est la veuve du fils de Jean-Pierre Lemboumba un baobab de la vie politique gabonaise.
Source : www.cameroonweb.com