Privatisation: après TogoCom, le coton togolais dans les mains Singapouriens

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La privatisation des sociétés étatiques est devenue le mode de gouvernance par excellence au pays de Faure Gnassingbé. Après avoir vendu Togocom à vil prix aux Malgaches, l’Etat décide aussi de céder aux Singapouriens ses parts dans la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT).


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Le Togo comme il va. Tout porte à croire que bientôt toutes les entreprises étatiques du pays seront entre les mains des étrangers. A en croire les experts et les conseillers qui gravitent autour du locataire de la Marina, cette politique de privatisation des sociétés étatiques est la panacée, la meilleure solution stratégique pour faire sauver l’économique du pays. 

Selon les informations, c’est le groupe singapourien OLAM qui va racheter les parts de l’Etat togolais (60%) dans le capital social de la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT). Les 40% des parts restantes appartiennent déjà à la Fédération nationale des groupements de producteurs de coton (FNGPC).

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Un projet de loi portant autorisation d’ouverture du capital de la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT) est soumis aux députés du temple chinois ce lundi. Ce projet, une fois voté et adopté, va permettre au régime de Faure Gnassingbé de céder au secteur privé, OLAM donc, des actions détenues par l’Etat dans le capital social de la NSCT.

Pour l’heure, nul ne sait combien le géant singapourien va débourser pour racheter ces 60% des parts de l’Etat togolais dans le capital social de la NSCT.

Source : Togoweb.net