Dans le monde entier pour venir à bout d’une dictature sanguinaire armée, il faut des stratégies, une prise de conscience par la population et surtout ne pas se focaliser sur une parti politique de l’opposition ni sur un leader.
Les dictateurs sanguinaires ne quitteront jamais facilement le pouvoir par les urnes. Ils n’ont que la culture de la force et des armes.
Les dictateurs tyrans doivent être chassés du pouvoir par une révolution populaire du peuple où par un coup d’État point barre. Les coups d’État militaires s’expliquent par le désir des jeunes de changer la situation pour les bonnes causes par rapport aux dictateurs tyrans et sanguinaires qui empêchent le développement, l’alternance et la démocratie dans leur pays.
A travers le monde entier, nous avions vu plusieurs exemples comme :
- La Roumanie avec Chéou Chescou
- Le Chili avec Pinochet
- Le Zaïre avec Mobutu Désiré Séssé Séko
- Le Burkina Faso avec Blaise Compaoré
- La Gambie avec Yaya Jammeh
- La Guinée Conakry avec Laminé Lamisana, Lassana Conté et Moussa Dadis Camara
- La Tunisie avec Ben Ali
- L’Egypte avec Hosni Moubarak
- L’Algérie avec Aziz Bouteflika
- Le Libéria avec Samuel Doe
- Le Soudan avec El Béchir
- Le Zimbabwe avec Robert Mugabe
- Le Tchad avec Gougouni Wédé et Hissène Habré
- La Centrafrique avec Bokassa, Patassé et Bozizé
- Le Mali avec Amadou Toumani Touré
Source : La Nouvelle
Source : 27Avril.com