Togo: La place de la chefferie traditionnelle dans le processus de démocratisation togolais dépend absolument de sa « républicanisation », c’est-à-dire de la possibilité qu’a son jeu de langage administratif de se référer désormais aux valeurs éthiques et politiques que la gouvernance moderne a généralement en vue. Pour survivre à la modernisation irréversible de la gouvernance togolaise, la chefferie traditionnelle doit pouvoir opérer ou subir une profonde mutation sans laquelle, dans l’impossibilité de s’ajuster, elle se condamnera à disparaître dans le temps de la scène administrative et politique togolaise. Dans le meilleur des cas, elle se fera asservir par le politique pour jouer une fonction instrumentale fort préjudiciable à l’expression citoyenne des droits de l’homme.
La chefferie traditionnelle togolaise est en réalité ce que l’on pourrait appeler un « Objet juridique non identifié »
Dans cette vidéo Togbui DAGBAN Sylvain Akoete chef quartier d’Adakpamé retrace l;histoire qui montre que les AKLASSOU sont des usurpateurs