Le président Faure Gnassingbé a assisté mardi à l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York.
Il a assisté au discours du président américain Donald Trump.
Ce dernier a menacé d’augmenter encore la pression sur l’Iran, au moment où les pays européens multiplient les initiatives pour faire tenter de faire baisser la tension.
Le locataire de la Maison Blanche a multiplié les mises en garde à Téhéran.
‘Tant que l’attitude menaçante de l’Iran continuera, les sanctions ne seront pas levées, elles seront durcies », a-t-il lancé devant les représentants des 193 membres des Nations unies’
‘Tous les pays ont le devoir d’agir. Aucun gouvernement responsable ne devrait subventionner la soif de sang de l’Iran », a-t-il poursuivi, sans cependant mettre en avant de nouvelles propositions et reprenant largement la tonalité de ses discours des deux années précédentes.
Donald Trump s’est ensuite livré à une vigoureuse offensive contre les pratiques commerciales ‘iniques’ de la Chine qui ont justifié sa politique protectionniste vis-à-vis de Pékin.
Le président américain a enfin affirmé que les Etats-Unis surveillaient ‘de très près’ la situation au Venezuela, alors que de nouvelles sanctions contre le secteur pétrolier vénézuélien étaient annoncées à Washington.
Tout le monde spécule à l’ONU depuis plusieurs jours sur une rencontre entre Trump et son homologue iranien Hassan Rohani, qui s’exprimera lui mercredi à la tribune. Un tel face-à-face historique pourrait, espèrent ses partisans, atténuer les tensions encore accrues depuis les attaques du 14 septembre contre deux installations pétrolières saoudiennes, attribuées par les Occidentaux à la République islamique.
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