La crise sanitaire mondiale actuelle nous fait voir de toutes les couleurs. Presque tous les secteurs d’activités sont touchés.
Et même si on ne parle que des Zémidjans, les mesures prises par le gouvernement togolais ont littéralement mis en chômage technique un secteur d’activité qui malheureusement ne pourra pas bénéficier de mesures d’accompagnement: les travailleuses de sexe.
L’activité des travailleuses de sexe qui se passe la plupart du temps dans la nuit dans nos pays tournent au ralenti. La faute à un couvre-feu accompagné de mesures de répressions. Les acteurs sont désespérés et les clients sont très méfiants.
«Avec les ravages que fait le coronavirus, je crois qu’il est plus prudent de ne pas fréquenter les prostituées, pour l’instant. S’il suffit d’éternuer pour contaminer quelqu’un, c’est évident que c’est trop risqué d’avoir un rapport. Car les deux corps entrent en contact et là on est déjà à moins d’un mètre», a confié à Nisha un zémidjan, ayant ses habitudes chez les filles de joie qui abondaient dans la zone d’Agoè, un quartier périphérique du nord de la capitale Lomé. (…) Lire la suite sur Nishamag.com
Source : Togoweb.net