La descente aux enfers continue pour la société CECO. Sa Direction générale vient de mettre de nombreux employés en chômage technique sans l’avis de l’Inspection du travail.
La société dirigée par Constantin Amouzou est dans la tourmente. En plus de certains départs volontaires, elle a licencié une partie de son personnel pour motif économique.
En juin dernier, un autre plan de licenciement fignolé fait flop. L’Inspection de travail ayant refusé tout renvoi d’employés sans mesure d’accompagnement.
Face au blocus, la Direction générale de la boîte trouve une formule pour passer en force. En théorie, ces travailleurs ne sont pas licenciés directement mais mis au chômage technique d’un mois «renouvelable».
Les intéressés craignent que cette mesure déjà illégale ne se transforme en un licenciement pur et simple.
A.H.
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