Le président ghanéen, John Mahama est accusé par son opposition dans une affaire de voiture Ford reçue de la part d’un entrepreneur Burkinabè. Mais, le président se défend énergiquement et défi ses opposants en les invitant d’utiliser les dispositions constitutionnelles pour le juger.
Pour le président ghanéen en lice pour un nouveau mandant à la prochaine élection présidentielle qui aura lieu en novembre prochain, les accusations à son encontre sont sans fondements.
Mieux, il fait savoir aux opposants que, cette tactique ne marchera pas et ne les aidera non plus pas à conquérir le pouvoir, car les Ghanéens savent discerner.
En tout cas, c’est un président candidat à sa propre succession qui se veut confiant. Confiant que les électeurs lui renouvelleront leur confiance en novembre prochain.
Dans cette affaire de corruption que rejette le parti au pouvoir, une formation politique de l’opposition, le parti d’opposition CPP a saisi la Commission des Droits de l’Homme et de la Justice Administrative (CHRAJ) pour qu’elle mène une investigation sur le don reçu par Maha
Source : www.icilome.com