Par Marcelle Apévi, togo-online.co.uk
Le RPT/UNIR se met en jambe pour ses élections législatives du 20 décembre, malgré la détermination de la C14 à obtenir des réformes avant la tenue des élections au Togo. Dans un communiqué qui a fait le tour de la toile, le régime a rappelé à ses militants, les critères de choix d’éventuels candidats. C’était comme un morceau d’os pourri lâché aux chiens qui entament toute suite une bataille.
La scène, elle est triste et se passe à Tandjouare où une candidate use du titre ronflant de son mari, colonel et préfet fut-il, pour narguer, menacer et intimider les militants et sympathisants du RPT/UNIR qui n’existent même pas au microscope.
La Dame en question sème du bordel dans la localité, se faisant passer pour candidate de Faure Gnassingbé, réactivant ainsi ces pratiques de la maison qui lui ont permis de siéger dix années durant au parlement.
Si le parti s’inquiétait parce que la situation sociopolitique a réveillé les populations et a exposé les tares du RPT/UNIR, sa méchanceté et sa dictature, l’inquiétude se fait de plus en plus retentissante avec la peur de perdre le contrôle de la manette. En décidant de foncer droit dans le mur, le RPT/UNIR compte sur ses astuces de vol et de fraude.
Avec cette guéguerre qui laisse entrevoir l’étincelle dans l’air, les chances de frauder les élections s’amenuisent car les éléments sur lesquels le parti compte pour organiser des élections dans un contexte politique tendu s’entre-déchirent. Jusqu’où ira t-il avec ses dinosaures qui piétinent les menus fretins du parti?
Il revient donc au RPT/UNIR de se rendre compte qu’il a tout perdu pour tout renseignement reprendre avec sérieux et donner au peuple, ce qu’il désire le plus ardent.
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