Par Marcelle Apévi, togo-online.co.uk
Le peuple pleure et crie sans cesse son ras-le-bol pour dénoncer la dictature de Faure Gnassingbé. Comme réponse à ces cris de détresse, le régime a déversé des militaires et milices pour assiéger différentes localités et mener la vie dure aux pauvres populations togolaises. Morts d’hommes qui ont laissé leur vie au bout des balles assassines des militaires et milices, blessés par balles réelles, violences avec destruction de biens etc. sont les conséquences de l’agissement de ces hommes qui défient la souveraineté du peuple. Dans tout ça, celui qui se dit président de la République n’a nullement brisé le silence, ne serait-ce que saluer la méchanceté de ses milices et militaires.
Depuis le 19 août que cette lutte a connu une nouvelle dimension avec l’ascension fulgurante de Tikpi Atchadam, pas un seul jour ne passe où les togolais ne battent les pavés, que ce soit au pays ou que ce soit à l’extérieur.
Comme on pouvait l’imaginer, le fils à Papa l’a ouvert à Tsévié, dans le cadre d’un rendez-vous de divertissement et de partage de billets de banque.
Un mépris total à l’endroit du peuple togolais. Mais au même moment, il convient de s’en réjouir, surtout qu’il s’agit de la preuve que Faure Gnassingbé n’est rien d’autre que le président de la minorité des pilleurs professionnels des ressources du pays. Cette réalité doit interpeller la communauté internationale à prendre place aux côtés du peuple pour défendre sa cause.
Au delà des écrits et propos jusque-là sans effets palpables, la communauté internationale doit taper du point sur la table pour dire non à la dictature au Togo.
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