Tel est le rapport d’une étude initiée par Women In Law Development in Africa (WiLDAF-Togo) et dirigée par le professeur Atavi Mensah Edorh, chercheur à l’Unité de Recherche Démographique de l’Université de Lomé. Le taux des mariages précoces est encore élevé et cette ONG ne cesse d’œuvrer pour freiner voire éradiquer cette violence faite à la femme.
Les enquêtes ont été faites sur 1199 personnes dans les régions Centrale et des Savanes, deux régions qui ont un fort taux de mariage précoce au Togo. Cette étude se situe dans le cadre du projet « Lutter contre les mariages précoces par l’autonomisation des filles en Afrique de l’Ouest ».
Le document de ce rapport étant dorénavant disponible, Wildaf Togo sait comment mener des actions pour autonomiser les filles et faire d’elles des acteurs dans cette lutte afin de renverser la tendance.
M E
Source : www.lomechrono.com