Des élèves des préfectures d’Akebou, Wawa, Avé et Golfe ont entretenus sur les conséquences des violences sur les enfants et surtout les filles. C’est au cours d’une campagne tenue du 9 au 10 octobre 2018. Une initiative de WAO Afrique et ses partenaires, surtout l’association Aide Villages Togo.
Selon Lucie Bodineau, infirmière Française, membre de l’association Aide Villages Togo, le silence des filles sur les violences dont elles sont victimes n’est pas sans conséquences sur leur santé psychologique et physique.
« Le problème de ces violences c’est ce que les filles ne parlent pas et après c’est qu’elles souffrent psychologiquement et aussi physiquement. Et c’est terrible pour leur avenir ! Lorsque le viol survient les filles ont honte et perdent confiance en elles. Sans la femme l’humanité n’est rien. Il faut protéger les filles pour qu’elles parlent et qu’elles disent stop », a-t-elle déclaré à djena.info.
Amener les populations et surtout les jeunes à rompre la culture du silence sur les actes de violences dont elles sont victime. C’est l’objectif de cette campagne à travers ces quatre (4) préfectures.
Edem (Stagiaire)
Source : www.lomechrono.com