L’Alternative Leadership Group (ALG), une association de la société civile fait de la lutte contre la corruption, l’une de ses préoccupations majeures. Pour ce faire, l’Association a organisé une table-ronde le jeudi 22 Décembre 2016 à Lomé, en partenariat avec le Programme des nations-unies pour le développement (PNUD) et le Millenium Challenge Account (MCA), autour du thème « la problématique de la corruption au Togo, état des lieux et approches de solution des différents acteurs ».
L’Alternative leadership group au-delà de son rôle de dénonciation, veut apporter sa pierre à l’édifice pour mener le combat contre la corruption, « ce géant, qui ne rendra pas les armes en un seul jour ». Ainsi, la table ronde vise à offrir un cadre de réflexion et d’échanges aux acteurs du secteur judiciaire, de la société civile et de l’Administration publique sur l’état de la corruption au Togo et sur leurs contributions aux efforts qui sont menés pour endiguer le phénomène.
Entre autres objectifs de cette activité, c’est de relever les causes et manifestations de la corruption au sein des différentes corporations identifiées, recenser les mécanismes de prévention et de répression de la corruption principalement au sein des corporations identifiées, recueillir les contributions des acteurs présents pour une lutte plus efficace contre le phénomène en l’occurrence au sein de leurs corporations.
La table ronde a inauguré une série d’actions de sensibilisation sur la corruption et toutes les forces de trafic d’influence et de flux financiers illicites en rapport avec la corruption et les moyens de lutte existants et envisageables.
Selon Manaf Alfa-Boukari, le Secrétaire général adjoint de l’ALG, il s’agit pour eux à travers cet évènement, d’encourager tous les efforts que le Gouvernement est en train de fournir afin d’être éligible au Millenium Challenge Account, d’agir sur ce levier pour faire un plaidoyer en vue de l’amélioration du renforcement de la lutte contre la corruption. « Nous savons que beaucoup de choses sont faites, mais ce mal continue de gangrener plusieurs secteurs de notre pays dans l’administration publique, dans le privé, au sein des organisations de la société civile, dans toutes les corporations », a déploré M. Alfa-Boukari. « Les propositions qui seront issues de cette table ronde vont devenir des indicateurs à partir desquelles Alternative Leadership Group et les partenaires vont maintenant mener des actions sur le terrain, auprès de l’Etat , dans les différents acteurs pour que justement, l’année prochaine lorsque le Togo sera évalué et notée sur l’indice de la corruption que notre note ne soit pas dégradée, donc c’est une action très ponctuelle avec un objectif bien déterminé, mais une action qui induire des impacts et des effets qui seront durables », a-t-il exprimé.
Présent à la table ronde, Essohana Wiyao, représentant le Ministre de la Justice, reste convaincu que de cette rencontre, « sortiront des déclarations, des recommandations, des résolutions ou des propositions qui serviront à enrichir la base de données du Gouvernement en matière de prévention et de lutte contre la corruption dans notre pays ».
Au cours de la rencontre, quatre commissions ont été formées pour faire les travaux. Il s’agit de la commission de l’Administration publique, de la commission de la Justice, de la commission des Médias et de la commission des Organisations de la société civile. Ainsi, chaque commission a dévoilé les manifestations de la corruption dans son secteur et a fait des propositions pour enrayer le mal.
F.S
L’Alternative leadership group au-delà de son rôle de dénonciation, veut apporter sa pierre à l’édifice pour mener le combat contre la corruption, « ce géant, qui ne rendra pas les armes en un seul jour ». Ainsi, la table ronde vise à offrir un cadre de réflexion et d’échanges aux acteurs du secteur judiciaire, de la société civile et de l’Administration publique sur l’état de la corruption au Togo et sur leurs contributions aux efforts qui sont menés pour endiguer le phénomène.
Entre autres objectifs de cette activité, c’est de relever les causes et manifestations de la corruption au sein des différentes corporations identifiées, recenser les mécanismes de prévention et de répression de la corruption principalement au sein des corporations identifiées, recueillir les contributions des acteurs présents pour une lutte plus efficace contre le phénomène en l’occurrence au sein de leurs corporations.
La table ronde a inauguré une série d’actions de sensibilisation sur la corruption et toutes les forces de trafic d’influence et de flux financiers illicites en rapport avec la corruption et les moyens de lutte existants et envisageables.
Selon Manaf Alfa-Boukari, le Secrétaire général adjoint de l’ALG, il s’agit pour eux à travers cet évènement, d’encourager tous les efforts que le Gouvernement est en train de fournir afin d’être éligible au Millenium Challenge Account, d’agir sur ce levier pour faire un plaidoyer en vue de l’amélioration du renforcement de la lutte contre la corruption. « Nous savons que beaucoup de choses sont faites, mais ce mal continue de gangrener plusieurs secteurs de notre pays dans l’administration publique, dans le privé, au sein des organisations de la société civile, dans toutes les corporations », a déploré M. Alfa-Boukari. « Les propositions qui seront issues de cette table ronde vont devenir des indicateurs à partir desquelles Alternative Leadership Group et les partenaires vont maintenant mener des actions sur le terrain, auprès de l’Etat , dans les différents acteurs pour que justement, l’année prochaine lorsque le Togo sera évalué et notée sur l’indice de la corruption que notre note ne soit pas dégradée, donc c’est une action très ponctuelle avec un objectif bien déterminé, mais une action qui induire des impacts et des effets qui seront durables », a-t-il exprimé.
Présent à la table ronde, Essohana Wiyao, représentant le Ministre de la Justice, reste convaincu que de cette rencontre, « sortiront des déclarations, des recommandations, des résolutions ou des propositions qui serviront à enrichir la base de données du Gouvernement en matière de prévention et de lutte contre la corruption dans notre pays ».
Au cours de la rencontre, quatre commissions ont été formées pour faire les travaux. Il s’agit de la commission de l’Administration publique, de la commission de la Justice, de la commission des Médias et de la commission des Organisations de la société civile. Ainsi, chaque commission a dévoilé les manifestations de la corruption dans son secteur et a fait des propositions pour enrayer le mal.
F.S
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