Il adore ces genres de sommets ou rencontres internationales et il ne se fait pas du tout conter l’évènement. Il débarque parfois avant même l’arrivée des portiers qui doivent ouvrir les portes de la salle de la rencontre. Mais ce séjour new-yorkais, à l’occasion de la 73e session de l’assemblée générale des Nations écartées, que dis-je, unies, « Faure-vi » ne doit pas en garder un très bon souvenir.
Il était annoncé par toutes les télés, les radios, tous les journaux, bref toutes les caisses de résonance du pouvoir qu’il devrait prononcer à la tribune des Nations un discours jamais entendu dans le monde. On nous a dit que comme c’est un grand quelqu’un et que c’était un honneur pour l’assemblée générale de l’avoir à New York, il devrait faire son allocution après le SG des « Gnassions » unies, le Yankee Donald Trumpette et le Gaulois Manu Macron. On a attendu jusqu’à la tombée de la nuit. Mais jamais le discours « prégodentiel » n’est intervenu. Mais à en croire des caisses de résonance du pouvoir de « L’eau-mé » ici, il l’aurait fait. On ignore tout de même si c’était dans les coulisses derrière les rideaux. Il parait qu’il a participé à un forum baptisé « one planetsummit » et les caisses de résonance insistaient à chaque fois « forum de haut niveau », comme s’ils voulaient envoyer un message.
2e accroc, l’accueil chaleureux que se sont proposé de lui réserver les « Gnassingbélandais » vivant aux « Zétasunis ». Selon les infos, ils attendaient de pied ferme le Prince, pour l’ovationner et le féliciter pour sa gestion démocratique du 228 et la façon dont il s’occupe aussi bien de leurs parents restés au pays – hum. Mais on ne sait pas ce qui n’a pas marché, il aurait « zéwa » (disparu), semant ainsi les ennemis de la « Gnassion ». En tout cas, le « p’ti », tellement « Faure », aurait semé ces mauvais citoyens que les « zopposants » ont délégués au pays de l’oncle Mc Donaldson. Il se raconte qu’il était sorti par une porte dérobée du Plazza Hotel, semant ainsi les manifestants qui l’attendaient avec impatience pour le cueillir à chaud avec des interpellations directes.
Qui a dit qu’un « grand » est un petit ? N’empêche, ils ont eu de la chance. Ils n’ont qu’à remercier le ciel que leur plan n’ait pas marché. Parce que s’ils avaient osé, ils devraient avoir affaire aux éléments d’El Yarko déployés à tous les coins de l’hôtel, dans les rues sur tout le parcours et prêts à gazer tous ces manifestants jusque dans leur maison.
Source : Liberté
27Avril.com