Je ne vous déclinerai pas mon identité, juste un pseudo et vous savez pourquoi. Mais le plus important est ce qui va suivre.
Les Africains, particulièrement les Ivoiriens puis les Libyens ignorent le fond de leurs malheurs. Oui ce qu’ils subissent ne date pas de maintenant comme vous vous en doutez.
Ceux qui ont tiré et continuent encore de tirer les ficelles des crises et guerre en Afrique et ailleurs ont tout planifié en attendant le faux pas des leaders comme Laurent Gbagbo et Mouammar Kadhafi. Nous allons ensemble survoler le cas libyen mais aller en profondeur sur le cas ivoirien.
La communauté de la haute finance (dirigée et contrôlée par les hommes gris/les illuminatis) dont je faisais partie a une règle simple l’argent et encore gagner de l’argent…
Concernant le plan des illuminatis ( dont font parties le CFR, la Commission trilatérale, le mouvement Skrull & Bones, les francs-maçons, la rose croix, etc…) le choix qui s’est porté dans les années 1970 sur Allassane Ouattara depuis qu’il était étudiant en Pennsylvanie aux Etats-Unis avait pour but de remplacer Félix Houphouët Boigny lorsque celui-ci serait vieillissant ou mourant.
Nous avons à travers François Mitterrand poussé la création du multipartisme dans l’Afrique francophone. Objectif préparé 18 ans plus tôt, afin de remodeler l’espace politique africain. Nos experts ont déduit que l’application du multipartisme nous permettrait de remplacer la vieille garde politique par une nouvelle.
Pour y arriver il fallait faire chuter les cours mondiaux du cacao et autres matières premières. Ceci pour créer une crise économique et provoquer la colère populaire, pour finalement aboutir au pluralisme d’opinions qui fragiliserait les présidents d’alors qui étaient adulés et respectés comme Houphouët-Boigny. La haute finance n’a pas d’état d’âme. Notre système couvrait les dérapages et crimes de ce dernier (Houphouët-Boigny) tant qu’il nous était utile et en bonne santé. Mais ce dernier ayant découvert trop tard la manoeuvre, a tout fait pour ne pas permettre à Alassane
Ouattara d’être au pouvoir.
Il a modifié la constitution afin de permettre à Henri Konan Bédié de venir aux affaires bien qu’il soi mal aimé de la population qui voyait en lui un héritier dynastique. Cette situation d’antipathie d’une bonne partie du peuple nous donnait le temps de préparer la chute de Bédié qui s’est avéré un homme faible. Il nous fallait tout simplement jouer sur la fibre ethnique et religieuse pour placer Ouattara au pouvoir quelque soit celui qui était en face.
Créer subtilement le Rdr et en faire un parti ethnique avec des militants que nous savions pour la plupart peu instruits ou analphabètes a été d’une aisance modèle, car plus faciles à manipuler. Nous y reviendrons plus loin. Ouattara étant présenté comme victime par nos médias , il devint facile de manipuler les militaires ivoiriens du nord tel Ibrahim Coulibaly dit « IB », Issiaka Ouattara, Oumar Diarrassouba etc. Objectif : saisir une situation et créer un mouvement de révolte, placer un homme lige pour une transition et aboutir à une élection truquée comme plus tard en novembre 2010. Bédié entretemps tombé le 24 Décembre 1999, le Général Guéï est placé provisoirement à la tête du pays mais plus tard, ce denier retournera sa veste. Deux tentatives de coup d’Etat contre lui échouent, puis, Laurent Gbagbo vient aux affaires suite à une élection controversée.
Nous avons été surpris par la réaction populaire qui a permis de rendre à Gbagbo sa victoire. L’arrivée au pouvoir de cet homme (Gbagbo) que nous avons par l’entremise de Ouattara tenté de supprimer en 1992 lors de la marche de l’opposition du 18 Février de ladite année, a fait trembler la HAUTE FINANCE SATANIQUE comprenant LE CLUB DE PARIS, LE FMI, LA BANQUE MONDIALE, LE CLUB DE ROME etc… Le plan pour l’éliminer fut secrètement mis au point en attendant une occasion dorée qui s’est présentée lors de cette marche (18 février1992). Mais l’humanisme des gendarmes d’alors a gêné la mise à mort de l’homme.
Certes, nous voulions une opposition contre le pouvoir Houphouêt afin de l’affaiblir puis le remplacer, mais nous ne voulions pas d’une opposition puissante comme le Fpi avec un leader aussi charismatique qu’incontrôlable comme Gbagbo. Un tel homme au pouvoir suite aux élections de 2000 n’arrangeait pas les affaires des banquiers et les chocolatiers internationaux guidés par les hommes gris (illuminati).
Laurent Gbagbo, un homme qui n’est pas esclave de l’argent et de luxe démesuré est un poison pour ceux qui l’ont finalement eu le 11 Avril 2011.
Gbagbo arrive au pouvoir et découvre que le pays dont il tient les rênes n’est pas réellement indépendant, mais pire, les richesses du pays appartiennent à la France qui les gère pour les intérêts de la communauté internationale dirigée par les illuminatis. Il décide alors de tout remettre à plat concernant les relations entre son pays et la France.
Tout l’argent de corruption à lui offert par les pontes du pouvoir financier français est directement versé dans les caisses du trésor ivoirien. Car disait-il, c’est l’argent des ivoiriens. Crime de lèse majesté pour les financiers occidentaux, car on ne refuse pas impunément les offrandes de gens qui ont toujours procédé ainsi pour avoir la mainmise sur les dirigeants et les richesses des pays du sud. Non seulement l’élection de Gbagbo nous a surpris, mais il commet le crime d’être incorruptible. Il fallait s’en débarrasser le plus vite possible. Janvier 2001, première tentative qui échoue par précipitation. Septembre 2002 fût préparé au Burkina Faso avec l’appui de Blaise Compaoré, franc-maçon de catégorie esclave, franc-maçon soumis qui respecte les règles criminelles de la cause.
Entrainements intensifs des militaires exilés ivoiriens qui échoueront miraculeusement le 19 septembre.
Mais tout est réorganisé pour partitionner le pays puis le conquérir petit à petit afin d’affaiblir le pouvoir Gbagbo insoumis, panafricaniste et nationaliste. Mais les combats sont meurtriers malgré le faible équipement des militaires loyalistes. Une ruse est parallèlement organisée pour neutraliser Gbagbo.
1- Mise sur pied par la DGSE française d’un commando afin d’assassiner des personnalités plus ou moins importantes (le comédien Camara dit « H », le Docteur Dacoury frère du rebelle Dacoury Tabley, Guy André Keiffer etc…) pour faire accuser Gbagbo avec des supposés escadrons de la mort fabriqués de toute pièce par les services secrets français.
2- Les accords de Marcoussis pour le dépouiller de son pouvoir gênant. Là encore Gbagbo se montre habile politicien et déjoue tous les pièges qui lui sont tendus.
L’armée ivoirienne qui se rééquipe ne rassure pas les intérêts occidentaux car les soldats loyalistes commencent à surmonter leur peur et prêts à broyer du rebelle afin de libérer le pays. Voyant la supériorité militaire loyaliste se forger et gagner du terrain, un traité de paix est provoqué et signé pour stopper la belligérance.
Comment stopper les achats d’armes que Gbagbo opérait, telle devenait l’objectif à court terme pour les illuminati.
Nos experts composés de la DGSE française, de la CIA américaine et du Mi5 britannique en liaison avec les services secrets burkinabé, maliens et sénégalais se mettent au travail pour trouver une solution afin de verrouiller militairement l’armée loyaliste appelée FDS-CI.
La première trouvaille est une marche organisée par l’opposition en Mars 2004. Le but était de pousser Gbagbo à massacrer le maximum de « civils » (infiltrés pour l’occasion, de rebelles) et permettre ainsi à l’Onu (qui est l’arme diplomatique des illuminati) de sortir une résolution d’embargo sur la Côte d’Ivoire. Mais pour y parvenir, une commission d’enquête fût dépêchée afin de produire un faux rapport qui allait justifier l’embargo. Une fois de plus, Gbagbo sent le piège et produit un contre rapport juridique qui bat en brèche les arguments de la commission de l’Onu.
Quel est cet homme qui réussit à bousiller un plan bien pensé et aussi couteux que cette marche où nous avons bien manipulé les partis d’opposition avec leurs chefs cupides avides de pouvoir ?
Dans la colère, certains services secrets proposèrent l’élimination physique de Gbagbo. Mais ce projet fût abandonné pour raison de guerre civile qui n’arrangeait pas nos affaires. Avec un monsieur comme Blé Goudé à la tête d’une forte jeunesse nourrie à la sève nationaliste, sans oublier les militaires loyaux, il ne fallait pas prendre de risques. L’occasion rêvée s’est présentée lors de la tentative de libérer le territoire avec « l’opération César », où une agression de l’armée Fds-ci a été simulée pour détruire les aéronefs loyalistes et procéder à un coup de force pour renverser Gbagbo. Là encore, échec et mat, qui s’est achevé par le massacre de nombreux civils par l’armée française.
Cap à alors été mis sur la fin du mandat de Gbagbo en 2005. Mais entre temps, vu les manoeuvres du médiateur Sud Africain Thabo Mbéki qui étaient dangereuses pour nous, il fallait le court-circuiter.
Tous les moyens médiatiques furent déployés afin de demander la démission de Gbagbo et permettre la mise sur pied d’une transition. Vous vous en souvenez n’est ce pas ?
J’en ris encore aujourd’hui car c’était grotesque.
Mais il fallait quand même essayer.
Cette manoeuvre ayant échoué, l’objectif fut d’attaquer à nouveau Gbagbo à travers l’union africaine corrompue en imposant un nouveau 1er ministre en la personne de Konan Banny. Le choix de Banny s’est joué sous la pression d’Olusegun Obasanjo, l’ancien président nigérian qui est aussi francmaçon. Banny nous paraissait plus pugnace qu’un Seydou Diarra, faiblard et aphone. Mais le choix de Banny en décembre 2005 n’avait rien de promotionnel. Nous savions que la population baoulé (qui commençait dangereusement à succomber au charme Gbagbo) en grande partie nostalgique du temps Pdci houphouêtiste, allait croire à un retour aux affaires du parti. Leur haine allait se consolider contre Gbagbo pour la suite de notre plan. Banny allait croire en l’appui du Rdr de Ouattara pour faire chuter Gbagbo vu que le Groupe de Travail International (GTI-arme diplomatique) à été mis en place pour la cause. Objectifs : dissoudre l’assemblée nationale, contrôler l’armée, museler les patriotes de Blé Goudé et organiser des élections avec un ficher électoral tronqué sur base d’audiences foraines faussées. Là encore Gbagbo s’en sort avec maestria avec l’appui des jeunes patriotes guidés par Blé Goudé et Eugène Djué.
Mais nous avions marqué un point important dans cette défaite. La haine des militants Pdci baoulé pour Gbagbo a ressurgit et s’est consolidée grâce à « la cause » Konan Banny. Cela nous servira pour la suite, car la manipulation est notre jeu favori. La DGSE française organise l’introduction des déchets toxiques dans le but de créer l’émoi et la colère populaire. Le choc subit par l’opinion suite aux effets néfastes des déchets toxiques avait commencé à faire son effet, mais une nouvelle fois, Gbagbo prend le dessus car il avait compris la manoeuvre française.
Pour reprendre la main afin d’effacer l’épisode GTI-Banny-dechets toxiques, Gbagbo initie l’accord politique de Ouagadougou. Nous étions sonnés mais pas vaincus. Il nous fallait « récupérer » l’accord de Ouagadougou car notre pion Blaise Compaoré en était le parrain. Il lui fallait profiter de la confiance de Gbagbo pour vider cet accord de son contenu. En sujet obéissant, il rendait compte à ses maitres après chaque décision importante. Mais il ne fallait pas aboutir au désarmement.
Une fois la circulation des biens et des personnes démarrée, les armes étaient facilement transportables pour les disséminer à travers toute la partie sud du pays. Cela enclenché notre objectif de distraire l’opinion. Il fallait faire du bruit concernant l’enrôlement, le listing électoral et exiger la date des élections étant donné que l’opposition a eu la mainmise sur la CEI (Commission Electorale Indépendante) suite à l’accord de Prétoria. Mandat a été donné aux rebelles de récuser ensuite la médiation de Thabo Mbéki. Mais entre temps ce dernier a été poussé afin de permettre la candidature de tous et l’introduction d’un nombre important d’opposants dans la Commission Electorale Indépendante s’il voulait la paix en Côte d’Ivoire.
Pour ne pas entacher la crédibilité de sa mission. Il nous fallait avoir le contrôle de la CEI. Pourquoi ? Je vous explique les raisons : les services secrets on diligenté une enquête secrète pour jauger la popularité des principaux candidats. Résultat : 65.90% en faveur de Gbagbo, 20.08% pour Bédié et 14.02% pour Ouattara. Constatant ce résultat effrayant, Il fallait passer à la vitesse supérieure, c’est-à-dire confier l’enrôlement à un service technique étranger, verrouiller la CEI et procéder à des enrôlements tronqués.
Remarquez que dans les zones qui semblaient favorables à Gbagbo, les centres d’enrôlements ont été mal disposés afin de décourager ceux qui en étaient éloignés alors que les centres sont plus proches des populations du nord majoritairement Rdr. Ordre a été donné pour que les étrangers Cedeao viennent gonfler le nombre d’enrôlés car les votants réels ivoiriens du nord n’étaient pas aussi nombreux comme souhaité.
Quant au projet de société de Ouattara pour les élections, il ne fallait pas se casser la tête. Gbagbo avait déjà réfléchi et fait tout le travail à notre place. Il a suffit de changer quelques éléments de son projet pour en faire un semblant de différence. Ce qui fait de celui de Ouattara, une pâle copie du programme de Gbagbo. Avec une flottille de militants fanatiques et peu avertis, cela passa comme lettre à la poste.
Enfin, lors du cinquantenaire célébré à Yamoussoukro, Gbagbo annonce la date définitive des élections. C’est le top départ pour la grande manoeuvre d’intimidation et de corruption des chefs militaires afin de déstructurer l’armée Fdsci.
Des hauts gradés tombent comme des fruits mûrs dans la besace. Mais fait inattendu ! Beaucoup d’officiers dont le Colonel Major Konan Boniface et le regretté Capitaine Kouadio Timothée mort à Tiébissou lors des combats du 30 mars 2011 sont approchés, mais résistent fermement. Les milliards de francs CFA proposés ne les ébranlent pas. Ils disent être des hommes d’honneur et que cet honneur n’est pas à vendre.
Un choc pour nous ! Des militaires négro africains, qui logiquement doivent s’abaisser à la bêtise ethnique, refusent l’argent, demeurent intègres et nationalistes, tout le contraire du Capitaine Allah Kouassi Léon. Décidément on aura tout vu en Côte d’Ivoire.
Les votes du 1er tour se déroulent et les craintes des dirigeants financiers occidentaux se confirment : Gbagbo est le plus populaire des candidats malgré les manipulations que nous avions opérées, mais pire, Bédié est 2ème avant Ouattara. Ça, nous ne pouvions l’accepter, et les résultats on été inversés en faveur de Ouattara.
Bédié qui demeure un homme faible et poltron se laisse faire. Tous ses biens sont bloqués sans oublier tous les documents qui démontrent ses malversations économiques passées qui lui sont brandis. Bédié soutient alors Ouattara qu’il croyait rouler dans la farine afin que ce dernier amène ses votants en sa faveur au second tour. Il fut pris à son propre piège. C’est la même méthode qui sera appliquée pour le choix des candidats aux prochaines législatives. Vendre et rendre le Pdci inoffensif, ce qui arrange la situation des maitres occidentaux de Ouattara. Au second tour, malgré les appels de Bédié à voter pour Ouattara, le taux de participation est faible. Il fallût gonfler le nombre de votants par rapport aux listings dans les régions du nord non désarmées. Les hommes de Gbagbo à la CEI bien qu’en faible nombre, demeurent extrêmement vigilants.
Les 03 jours requis pour annoncer les résultats provisoires sont passés sans proclamation de résultats. Il fallait opérer un passage en force. Tâche qu’accomplissent les ambassadeurs français et américain. Une fois annoncés les résultats, le reste, nous nous en occupions par médias et ONU interposés. Gbagbo ne se laisse pas faire pour autant malgré le fracas médiatique des chaines de télévision et de radios occidentales. Il applique la loi dans toute sa rigueur mais que pouvait-il devant une telle force ? Vu que nous avions réussi à mettre le doute dans l’esprit des populations. Il fallait le présenter comme le mauvais perdant, le dictateur… et ça, nos média s’en sont donné à coeur joie.
Mais cet homme ne nous laisse toujours pas tranquille et se met à éveiller les consciences des masses africaines avec des émissions et des débats télévisées transmis à outrance sans oublier une diplomatie qui tournait à plein régime. Les chefs d’États africains sont menacés par les pays occidentaux tenus par les illuminatis. Les vieilles dettes de beaucoup de pays africains, en passe d’être annulées ne le seront plus s’ils n’obéissent pas aux ordres, c’est-à-dire faire tomber Gbagbo par l’Union Africaine, un organisme corrompu, mendiant et squelettique. Il a même été proposé par le président Sarkozy lors d’une session de l’UA, un droit de véto à l’Onu pour les africains. Du pur baratin pour naïfs.
Entre temps, pendant les tractations diplomatiques avec la CEDEAO, l’Union Africaine, l’Union Européenne et l’Onu depuis Janvier, les forces militaires venues du Sénégal, du Burkina-Faso et du Nigeria commencent à débarquer dans le nord de la Côte d’Ivoire avec armes et logistique. Officiellement et diplomatiquement, l’option militaire est rejetée, mais officieusement tout est en place. L’Onu permet la mise en service d’hélicoptères russes de type Mi24, officiellement pour défendre les civils mais en vérité ces engins meurtriers sont destinés à ouvrir le passage sur les différents fronts militaires aux combattants rebelles de Ouattara appuyés par les soldats Cedeao.
Lorsque les services secrets conduits par la DGSE française font leur rapport pour dire que tout est OK, les hostilités militaires rentrent alors dans leur phase active après le constat des avancées du commando invisible d’Ibrahim Coulibaly dit IB appuyé par l’armée française et l’Onuci à Abobo, commune favorable à Ouattara. Les différents fronts militaires sont mis en branle. La résistance des Fds-ci est farouche, surtout dans l’ouest de la Côte d’Ivoire. Les miliciens associés aux Fds donnent du fil à retordre aux forces Cedeao rompues au combat terrestre. Mais chaque fois, les Mig 24 de l’Onuci sont intervenus pour dégager les obstacles.
Curieusement, la suite s’est facilitée avec le recul des militaires restés loyaux à Gbagbo. Car pour nous, la guerre devait durer au moins 06 mois. Ces longs combats allaient nous permettre de massacrer la communauté chrétienne en masse afin d’atteindre une quantité de sang à faire couler pour cause rituelle satanique.
Le retrait des Fds-Ci a empêché ce carnage parce que la visibilité du terrain allait dévoiler ce génocide religieux. Les intenses prières chrétiennes ont un rôle néfaste contre les illuminatis qui sont, eux, adorateurs de Lucifer. Ce plan a été déjoué on ne sait comment. Mais il fallait continuer sur Abidjan où les fds se sont regroupés pour engager la bataille ultime.
L’entrée à Abidjan des Frci, appuyés par la force licorne et l’Onuci s’est soldée par un échec cuisant avec la perte d’au moins 80% des forces rebelles-Cedeao sans oublier des soldats Onuci et licornes morts au combat. Ce fut un véritable massacre de la part des Fds-Ci qui ont subitement pris le dessus malgré le commando invisible d’Ibrahim Coulibaly. Nicolas Sarkozy est sommé par les banquiers occidentaux de passer à la vitesse supérieure. C’est alors que tous les hélicoptères sont déployés contre les militaires ivoiriens.
C’est le pilonnage tous azimut pour affaiblir les positions des Fds-ci conduites par les vaillants chefs militaires que sont le Colonel Major Konan Boniface, Le Général Dogbo Blé, feu le Colonel Major Gohourou, le Commandant Abéhi et bien d’autres qui contrairement à beaucoup de gradés des Fds-ci, ne se sont pas vendus aux forces occultes qui sont les maitres de la banque mondiale et du Fmi, mandants d’Alassane Ouattara. Mais vu les corps des jeunes, massacrés par les hélicoptères français autour de la résidence du Chef de l’Etat Laurent Gbagbo, vu que l’armée française a détruit quasiment toutes les armes de pointe des soldats ivoiriens, Laurent Gbagbo décide de se livrer en demandant d’abord aux soldats d’arrêter de combattre et de se mettre en sécurité car dit-il, c’est lui que la communauté internationale veut.
Malgré eux, le coeur meurtri, les combattants Fds-ci se retirent et vont se mettre en sécurité où ils peuvent. Le 11 Avril, un autre miracle se produit. Laurent Gbagbo qui devait être tué selon le plan, s’en sort vivant et fait prisonnier. La communauté internationale est malheureuse mais fait dire à travers ses médias que Laurent Gbagbo doit être bien traité. Leur peur est que Gbagbo devienne un héros vivant. Ce qui est bien le cas aujourd’hui.
Un petit pays comme la Côte d’Ivoire qui tient tête à tout un système (la haute finance internationale), qui a poussé la communauté internationale à la faute en l’obligeant à faire la guerre au vu et au su de tous. Cela a permis aux jeunesses africaines de comprendre définitivement qu’on les a prises pour des idiotes depuis toujours et que leurs pays ne sont pas véritablement indépendants comme on tente de le faire croire avec des fêtes d’indépendance célébrées chaque année.
La communauté internationale se sent affaiblie car Laurent Gbagbo l’a poussée à se dévoiler en plein jour alors que par le passé tout était déguisé et les peuples manipulés n’y voyaient que du feu. Quand j’ai vu cet homme de plus près à l’hôtel du Golf suite à son arrestation, quand j’ai lu dans sons regard si profond, certes rempli de déception, je n’y ai pas aperçu de signe de défaite, de peur ni de faiblesse. Oui assurément c’est un grand homme,incorruptible et pardessus tout un génie de la politique jamais vu en Afrique depuis un certain Patrice Lumumba. Quand son regard a croisé le mien alors que les badauds fanatiques d’Alassane Ouattara le couvraient d’injures de toutes sortes, j’ai compris que le combat que mène cet homme n’est pas terminé même s’il mourrait ce jour où il fut arrêté.
Gbagbo n’a pas été tué physiquement, mais la communauté internationale voulait se rattraper autrement. La trouvaille, c’est la Cour pénale internationale (Cpi) qui doit servir à abattre l’homme définitivement. Le procureur Ocampo a reçu pour cette tâche, 1.000.000$ versés par les services de l’ombre de la communauté internationale sur un compte offshore aux Bélizes qui est un paradis fiscal pour le blanchiment d’argent. Gbagbo en prison au nord, le régime Ouattara demeure fébrile et ne rassure pas du tout car l’image du leader charismatique écroué gauchement, continue d’avoir un impact sur les populations africaines.
Son transfèrement précipité à la Cpi avait pour objectif d’abattre moralement ses soutiens militants et pousser les partis politique qui lui sont proches à abandonner la course aux législatives.
Mais, coup de théâtre, sa première comparution à la Cpi s’avère un poignard dans le ventre de la communauté internationale qui comprend alors tardivement qu’elle a affaire à un homme d’une dimension à nulle autre pareille. Un individu, qui a été maltraité, humilié et détenu dans des conditions inhumaines, réapparaît à la face du monde, requinqué, plus combattif que jamais avec comme cerise sur le gâteau, une intervention qui a fait l’effet d’une bombe.
Dans toute l’Afrique, l’espoir des jeunes africains refait surface et se décuple. Ce sont les débats pleins d’ardeur qui reprennent leur droit dans les quartiers des capitales africaines. En face, la communauté internationale se sent ridicule face à un seul homme qui incarne l’espoir politique de tout un continent avide de liberté et de démocratie sans influences extérieures. Elle se sent coupable de n’avoir pas assassiné ce Gbagbo qui les a poussé à révéler au grand jour toutes leurs combines.
Côté Côte d’Ivoire, les nouvelles consignes françaises sont les suivantes : étouffer la presse « bleue », proche de Gbagbo par tous les moyens afin de l’empêcher de faire un travail de communication efficiente et redonner de l’espoir aux Ivoiriens, l’empêcher d’assurer son travail d’éveils des consciences pour maintenir la flamme patriotique.
Manoeuvres rondement menées à coup de sanctions du Conseil national de la presse (CNP) dont c’est la mission principale sous l’oeil bienveillant du ministère de l’intérieur qui est suivi à son tour de très près par les services secrets français. Ceci avec des arguments fallacieux basés sur l’esprit d’un pseudo réconciliation et la « paix ».
Au niveau international la consigne claire est d’étirer le procès de Gbagbo en longueur à la Cpi avec de multiples reports afin d’émousser l’espoir des jeunesses patriotiques africaines. La remplaçante du procureur Ocampo, le futur procureur Fatou Benssouda de race noire a été approchée avec le double du gain (2.000.000 $) de son prédécesseur pour finir le travail d’accusation. Le choix d’un procureur de race noire est stratégique afin de ne pas donner au procès, la couleur raciste que tout le monde africain critiquait sous l’ère Ocampo. Sur le terrain ivoirien, l’organisation des législatives a pour objectif de déposséder les Ivoiriens de leurs terres, permettre une recolonisation très moderne de la Côte d’Ivoire par la France au profit de la communauté internationale. C’est cela le plan.
Mais la crédibilité de ce scrutin est très largement affaiblie car l’appel lancé par le parti de Gbagbo provoque la non participations des ivoiriens au vote du Dimanche 11 Décembre 2011. Il faut alors truquer les résultats et donner un chiffre de taux de participation erroné. En vérité, le réel taux de participation est de 16% et non 36% qui sont purement mensongers. Encore une victoire à l’actif de Laurent Gbagbo. Oui assurément, Gbagbo n’est pas comparable à Alassane Ouattara qui est fabriqué et tenu en lesse par la France et les puissances étrangères. Cet homme, Gbagbo, s’est fait lui-même sans appui extérieur. Il croit en l’Afrique alors que Ouattara aide à piller la Côte d’Ivoire avec des gros contrats offert à des entreprises burkinabè comme par exemple le marché de 25 milliards pour la réfection du quartier d’Abobo donné à une entreprise du pays de Blaise Compaoré. Les plus gros marchés sont réservés aux entreprises françaises pour le compte de ses maîtres de la communauté internationale.
Mais rien n’est tard puisqu’un esprit nouveau est né depuis l’an 2000 et n’est pas près de s’éteindre. Un homme appelé Laurent Gbagbo, que je n’aime pas (ce n’est pas obligatoire), c’est vrai, mais que je respecte, a pensé un projet de société révolutionnaire qui à terme, devait faire de la Côte d’Ivoire et de la sous région une puissance économique et industrielle avec sa propre technologie tenue et conduite par les africains eux même. Il a contribué à la mise sur pied du premier satellite africain RASCOM, qui du coup rendait l’Afrique autonome au niveau Télécommunication et informations.
Sa politique de transformation des matières premières allait enrichir et rendre puissants économiquement les paysans qui allaient se voir dotés de moyens techniques de dernières génération. Il avait pour objectif, le montage d’abord dé véhicules de transport avec pour finalité d’en construire localement avec les ingénieurs sortis de l’INP-HB.
Et plus encore il a entamé une ingénieuse politique de désendettement (PPTE) de son pays pour finalement aboutir à une autonomie basée sur les propres ressources ivoiriennes. Ce désendettement avait pour objectif de mettre à l’abri du besoin la majeure partie des travailleurs ivoiriens en augmentant drastiquement tous les salaires d’au moins 65% en plus de mettre tous les moyens économiques à un niveau où la jeunesse pouvait comprendre qu’il ne faut pas mettre ses espoirs dans l’immigration massive en occident. C’est l’un de ses plans secrets que nous avons découvert. Ça, la communauté internationale ne pouvait l’admettre. Pour mettre fin à cette vision, ses propres frères, égoïstes, avides de richesses faciles, de postes politiques honorifiques, afin de jouir de la vie se sont vendu au diable et l’on renié.
Mais comme je l’ai dit précédemment, cet homme digne de respect appelé Laurent Gbagbo, a suffisamment enseigné et nourri politiquement les jeunesses ivoirienne et africaine pour continuer le combat car, je vous informe que la communauté internationale, au-delà de toute fanfaronnade, a beaucoup de faiblesses. Je sais de quoi je parle et je ne dis pas n’importe quoi.
Quant à Alassane Ouattara, tous les documents compromettants le concernant ont été archivés pour le faire chanter le moment venu. Au delà de tout ce que je viens de vous démontrer, je vous suggère d’exploiter votre intelligence à fond dans la combativité et vous verrez que ces hommes politiques qui sont guidés par les dirigeants de la haute finance qui conduisent la communauté internationale ne sont que des hommes comme vous. Ils ne sont pas plus intelligents que vous comme le croient bêtement beaucoup d’africains adeptes de la paresse, de la mendicité et de la fatalité.
Je suis de race blanche certes, mais il est stupide de croire qu’on est plus intelligent que les autres races. Les Chinois nous ont prouvé le contraire.
C’est votre tour aujourd’hui. Gbagbo vous a montré le chemin et libre choix à vous de finir le travail ou l’abandonner par faiblesse, négligence et paresse. Humblement je vous soutiens et je vous encourage à bien vous organiser pour que la vérité éclate à la Cpi et que Gbagbo ne soit pas assassiné scientifiquement comme sait si bien le faire la communauté internationale.
Au delà de ça, comme Martin Luther King, une main africaine risque d’être payée pour faire le sale boulot d’élimination physique. Priez beaucoup mais agissez aussi beaucoup avec intelligence, ardeur et sans répit malgré les difficultés et épreuves jusqu’à l’obtention de résultats probants. Mais si vous priez beaucoup et agissez moins, alors vos prières s’avèreront inutiles. Car la prière sert à vaincre ce qui est invisible et c’est les actes qui obtiennent physiquement ce qui est obtenu dans le spirituel. C’est simplement ce que font les illuminatis dont je faisais partie. Ils adorent Lucifer et agissent de même dans le réel pour des résultats concrets. Prières et actions intelligentes sans émotions pour une victoire certaine, voici le secret.
Source : www.cameroonweb.com
il est tant que le monde entier se tourne vers JÉSUS-CHRIST
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