On l’annonçait hier lundi. C’est désormais chose faite. Après le Collectif Sauvons le Togo (CST), la Coalition Arc-en-ciel et le Combat pour l’Alternance en 2015 (CAP 2015), un nouveau regroupement de partis politiques de l’opposition a vu le jour dans l’après-midi d’hier lundi. Il s’agit d’un groupe de six (6) partis politiques de l’opposition à savoir l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) du Prof Aimé Gogué, les Forces Démocratiques pour la République (FDR) de Me Paul Dodji Apevon, le Togo Autrement de Fulbert Sassou Attisso, les Démocrates de Nicodème Habia, le Mouvement Citoyen pour la Démocratie et le Développement (MCD) de Mohamed Tchassona Traoré et le Parti des Togolais de Alberto Olympio, évoluant pour l’instant dans l’informel, sans dénomination. Seule information réelle sur laquelle on peut tabler, c’est que ce groupe est réuni par deux thématiques majeures : La décentralisation et les réformes.
Selon les leaders de ces formations politiques membres, ils ont à cœur d’indiquer une voie à tous ceux qui ont le devoir de faire évoluer le contexte politique togolais, apporter un souffle nouveau à la lutte des forces démocratiques et recréer l’espoir et l’engouement au sein du peuple.
Il est à noter que ce regroupement est le fruit de six mois de travaux en coulisse même s’il y a un des membres qui il y a six mois n’avait pas d’existence légale.
« Les réformes et la décentralisation sont les deux (2) principales thématiques du groupe », a indiqué Fulbert Sassou Attisso, Président du parti le Togo Autrement, l’un des partis membres de la nouvelle coalition avant d’inviter les autres partis ayant les mêmes visions à rejoindre le groupe. « Tous les partis qui seront ouverts à ces deux thématiques sont les bienvenus ». Croyant en cette nouvelle coalition par rapport aux défis à relever, le président du parti le Togo Autrement a fait savoir que « la plupart des coalitions passées n’ont pas atteints leurs objectifs. Il est important d’expérimenter autre chose ». D’où visiblement ce choix de ne pas disposer ni de président, ni de rapporteur, bref pas de leader, comme c’est plutôt le cas dans les autres regroupements antérieurs tels que le CST (Collectif Sauvons le Togo), la Coalition Arc-En-Ciel ou le CAP 2015 (Combat pour l’Alternance en 2015). Chaque parti, à s’en tenir à l’idéologie du groupe, est autonome. « Le groupe n’a ni président, ni rapporteur », a martelé Me Tchassona Traoré, président du MCD.
Autre responsable de parti membre à se prononcer, c’est Me Paul Dodji Apévon. En complément à ses compères, il a lancé un appel à la population à encourager et aider cette nouvelle coalition à atteindre ses objectifs. « Au lieu de critiquer, il faut plutôt aider et encourager à ce que le groupe prospère », a-t-il dit avant de poursuivre, « nous ne créons pas ce groupe pour faire ombrage à qui que ce soit. Mais nous créons un groupe pour dynamiser l’opposition à réussir là où elle a échoué ».
On attend dès lors de voir si cette coalition n’est pas un regroupement politique de l’opposition de plus dans le landerneau politique togolais qui en a tellement connu depuis 26 ans de lutte démocratique.
G.K
Selon les leaders de ces formations politiques membres, ils ont à cœur d’indiquer une voie à tous ceux qui ont le devoir de faire évoluer le contexte politique togolais, apporter un souffle nouveau à la lutte des forces démocratiques et recréer l’espoir et l’engouement au sein du peuple.
Il est à noter que ce regroupement est le fruit de six mois de travaux en coulisse même s’il y a un des membres qui il y a six mois n’avait pas d’existence légale.
« Les réformes et la décentralisation sont les deux (2) principales thématiques du groupe », a indiqué Fulbert Sassou Attisso, Président du parti le Togo Autrement, l’un des partis membres de la nouvelle coalition avant d’inviter les autres partis ayant les mêmes visions à rejoindre le groupe. « Tous les partis qui seront ouverts à ces deux thématiques sont les bienvenus ». Croyant en cette nouvelle coalition par rapport aux défis à relever, le président du parti le Togo Autrement a fait savoir que « la plupart des coalitions passées n’ont pas atteints leurs objectifs. Il est important d’expérimenter autre chose ». D’où visiblement ce choix de ne pas disposer ni de président, ni de rapporteur, bref pas de leader, comme c’est plutôt le cas dans les autres regroupements antérieurs tels que le CST (Collectif Sauvons le Togo), la Coalition Arc-En-Ciel ou le CAP 2015 (Combat pour l’Alternance en 2015). Chaque parti, à s’en tenir à l’idéologie du groupe, est autonome. « Le groupe n’a ni président, ni rapporteur », a martelé Me Tchassona Traoré, président du MCD.
Autre responsable de parti membre à se prononcer, c’est Me Paul Dodji Apévon. En complément à ses compères, il a lancé un appel à la population à encourager et aider cette nouvelle coalition à atteindre ses objectifs. « Au lieu de critiquer, il faut plutôt aider et encourager à ce que le groupe prospère », a-t-il dit avant de poursuivre, « nous ne créons pas ce groupe pour faire ombrage à qui que ce soit. Mais nous créons un groupe pour dynamiser l’opposition à réussir là où elle a échoué ».
On attend dès lors de voir si cette coalition n’est pas un regroupement politique de l’opposition de plus dans le landerneau politique togolais qui en a tellement connu depuis 26 ans de lutte démocratique.
G.K
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