Bientôt, un comité rassemblant des partis politiques et organisations de la société civile va œuvrer pour la libération de toutes les personnes détenues arbitrairement dans les maisons d’arrêts du pays.
L’arrestation des membres de la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) semble donner lieu à la goutte d’eau qui va faire déborder le vase en matière de violation des droits de l’homme, surtout des acteurs politiques qui sont injustement emprisonnés au Togo.
Des acteurs issus de la société civile et leaders politiques sont décidés à faire libérer les détenus politiques. Pour ceux-ci, l’arrestation de Mme Adjamagbo et de son collègue Gérald Djossou traduit le retour du Togo à l’ancien régime monolithique de parti unique. Un système qui a connu son déclin en 1990.
Dans leur déclaration liminaire, les signataires expliquent que Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson et M. Yaovi Dodzi Gérard sont manifestement victimes d’une instrumentalisation de la justice aux fins d’un règlement de compte politique au profit du r-
Source : icilome.com