Un accord de partenariat est intervenu mercredi entre l’École Supérieure des Affaires (ESA) basée à Lomé au Togo et l’Université de Douala au Cameroun. C’est pour la qualité des enseignements au niveau des deux institutions.
Le Professeur Magloire Ondoa et le Docteur Charles Birregah, respectivement recteur de l’Université de Douala et président fondateur de l’École Supérieure des Affaires (ESA), ont signé les documents de cette convention. Selon les deux parties, ce partenariat public-privé, gagnant-gagnant, permettra une meilleure qualité des enseignements à travers la formation des apprenants.
« L’accord avec l’Université de Douala est d’abord un accord en qualité. Puisque nous mettront à la disposition de l’École Supérieure des Affaires des enseignants de catégorie A. C’est-à-dire des professeurs agrégés ayant été sélectionnés sur la base des normes du CAMES. Cette qualité-là permettra d’atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. C’est un partenariat qui établit un pont entre l’École Supérieure des Affaires et l’Université de Douala. Des enseignants de l’Université de Douala seront mis à la disposition de l’École Supérieure des Affaires et l’Université. Cela dans les domaines les plus variés de la science. Qu’ils s’agissent des sciences sociales, des sciences humaines, des sciences technologiques selon la volonté de l’étudiant », a déclaré le professeur Magloire Ondoa.
L’École Supérieure des Affaires, pour sa part, apportera de son expertise à l’Université de Douala.
« Pour l’ESA, je peux amener le DESCOGEF puisque je suis agréé comme centre de DESCOGEF et l’Afrique centrale n’a pas encore son parcours pour préparer l’expertise comptable. J’ai ouvert mon établissement pour les candidats de l’Afrique centrale, spécialement du Cameroun pour venir se former ici au lieu de faire le diplôme français », a expliqué le Docteur Charles Birregah.
Le président fondateur de l’École Supérieure des Affaires ne compte pas s’arrêter là. Il veut puiser beaucoup de sa gibecière.
« Je vais apporter pas mal de logiciels. J’ai créé ici des logiciels. Par exemple pour contrôler l’assiduité des enseignants, pour contrôler l’entrée des étudiants. J’ai fait ça biométrique et maintenant avec QR code. J’ai créé aussi un logiciel pour la gestion des notes. Il y a aussi le management, c’est-à-dire comment gérer l’enseignement supérieur, comment attirer le financement bancaire, etc. Nous avons un savoir-faire que nous pourrons partager avec l’Université de Douala. J’ai beaucoup à apporter à l’enseignement supérieur public », a ajouté le responsable de l’École Supérieure des Affaires.
En 11 ans d’existence, l’École Supérieure des Affaires a noué plusieurs accords de partenariat avec plusieurs autres établissements d’enseignement supérieur à travers le monde. Notamment avec l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin, avec des universités en Guinée, au Maroc ou encore aux États-Unis, à en croire son président fondateur.
L’Établissement d’enseignement supérieur privé de Docteur Charles Birregah a également à son actif plusieurs distinctions honorifiques dont le Prix Arch de l’Europe à Francfort en Allemagne, le Prix Quality Crown à Londres en Angleterre, la Palme d’or de la Meilleure École la plus dynamique la plus innovante du secteur de la formation dans l’UEMOA, la Palme d’or de la meilleure École la plus dynamique et la plus innovante du secteur de l’Éducation au Togo, etc.
Source : icilome.com