Ce qui se passe dans certains pays de la sous-région ne rassure pas le Parti des Togolais voire beaucoup de personnes éprises de démocratie, de paix, du vivre-ensemble… La formation politique de l’opposition togolaise en vient à conclure que l’élection seule ne suffit plus pour parler de la démocratie.
En Côte d’Ivoire, tout comme au Togo, « on ramène la Constitution à un simple instrument à activer pour donner un cadre légal à la confiscation du pouvoir », constate avec regret Nathaniel Olympio, le patron du parti, relevant également que l’élection présidentielle du 31 octobre prochain au pays d’Alassane Dramane Ouattara (ADO) « devient un facteur de risque pour la stabilité de ces deux pays ».
Revenant sur le cas du Mali, en crise depuis le renversement du régime d’Ibrahim Boubacar Kéita (IBK), M. Olympio explique que le coup d’Etat est survenu parce que « les institutions sont bridées et ne jouent plus leur rôle de contrôle et d’équilibre ».
« C’est pourquoi, le contexte du coup d’Etat du 18 Août 2020 au Mali appelle à une lecture empreinte de compréhension et non de dogme. Cette flexibilité a éc-
Source : icilome.com