D’une manière ou d’une autre, la lutte politique entamée au Togo il y a plusieurs décennies aboutira tôt ou tard. C’est la conclusion du Parti nationaliste panafricain (PNP) après réflexion sur la situation politique actuelle qui prévaut au Mali.
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Le régime d’Ibrahim Boubacar Kéita (IBK) n’existe plus. Le président malien a été renversé par l’armée. Le pays se retrouve actuellement dans l’incertitude. Avant que l’armé ne décide de faire un coup d’Etat, une grande partie des Maliens manifestaient déjà depuis plusieurs semaines pour réclamer la décision d’IBK et son gouvernement. La Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), décriée dans sa gestion de la crise, tente de sauver son image.
Au PNP, l’analyse qu’on en fait est qu’aucun système politique ne résiste à la volonté populaire. « Tout peuple debout arrive à bout de n’importe quel dictateur », insiste la formation politique incarnée par Tikpi Salifou Atchadam au cours de sa dernière réunion hebdomadaire. Les Togolais doivent prendre conscience qu’il est temps que rien ne soit plus comme avant, exhorte-t-il, demandant la généralisation de la contestation populaire.
« Le peuple togolais a les capacités de chasser la dictature cinquantenaire. Il n’y a pas de démocratie sans liberté et il n’y a pas de liberté sans lutte… Au Mali, c’est le peuple qui a fait le gros du travail et l’armée a achevé la lutte », rappelle le PNP.
La particularité du Togo est que « malgré tout l’armée togolaise est restée fidèle au régime », continuant « d’opposer une violence inimaginable au peuple en lutte pour la liberté », relève encore le Parti national panafricain.
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Ce dernier ajoute qu’il n’est pas demandé aux Forces armées togolaises (FAT) de faire un coup d’Etat ou de renverser le régime cinquantenaire, mais de rester républicaines, « de s’abstenir d’exercer la violence contre les manifestants pacifiques ».
« Au Mali, c’est le peuple qui a engagé la lutte, a fait le travail et l’armée a achevé la lutte. Au Mali, le peuple et l’armée ne se sont pas concertés au préalable. Au Togo, armée ou pas, le peuple doit conclure la lutte en généralisant la contestation sur l’ensemble du territoire national », restent convaincus Tikpi Salifou Atchadam et sa suite.
Source: icilome.com
Source : Togoweb.net
Ouiii PNP les togolais n’ont qu’à savoir que Eyadema avait fait coup d’état aven d’avoir le pouvoir donc même coup doivent faire à son enfant dictateur pour libéré notre pays ok
Nous ne sommes pas différents des Maliens , c’est même Sans , l’armée togolais n’ont qu’à savoir qu’ils sont pour le peuple pas pour président . qu’ils laissent le peuple togolais de libéré leurs pays pour eux s’ils ne peut peuvent pas
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