Des informations inquiétantes font état de ce que des miliciens du régime au quartier Doumassesse (Adéwui) sont en train d’être réactivées pour des desseins obscurs.
Il nous revient que le dimanche 20 août 2017, au lendemain de la gigantesque marche du Parti national panafricain (PNP), une réunion a été organisée et des consignes ont été données aux milices afin de semer la psychose au sein de la population et démobiliser les forces démocratiques. Il nous revient que certains seraient équipés d’armes à feu.
C’est l’occasion d’interpeller le ministre de la Sécurité et de la Protection civile Yark Damehame, le chef d’Etat-major général des FAT Abalo Félix Kadanga et le Directeur général de la Gendarmerie nationale Yotroféï Massina afin que les douloureux événements du 15 septembre 2012 ne se répètent plus. Ce jour-là, les citoyens ont vu des miliciens armés de toutes sortes d’armes blanches et létales violenter des militants de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) et déambuler, au nez et à la barbe des forces de l’ordre qui assistaient aux violences en spectateurs.
La Rédaction
Source : Liberté N°2503 du Jeudi 24 Août 2017
27Avril.com