Conçue de main de maitre par le jeune leader Constatin Amouzou, l’entreprise CECO Groupe a laissé de bons souvenirs dans la mémoire collective. Les architectes de la chute de cette grande société de BTP pourvoyeuse d’emplois à la jeunesse, doivent bien être actuellement au remords, si vraiment ils ont une conscience à faire valoir.
Mais à l’heure d’un nouveau départ prôné par le Président Faure Gnassingbé, dans le cadre de son nouveau quinquennat, il serait de bon aloi que Constantin Amuzou soit remis en selle afin de redonner espoir à la jeunesse.
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Car, plus qu’un grand pourvoyeur d’emploi, le PDG de CECO représentait un modèle de réussite pour les jeunes Togolais soucieux de prendre leur destin en main.
Son retour sur la scène est donc vivement souhaité pour revitaliser l’envie d’entreprendre et surtout permettre à de milliers de jeunes de se réaliser.
L’épanouissement des jeunes demeure un sujet de grande importance dans la politique du renouveau du Chef de l’Etat Togolais. Cela transparait aisément dans ses actes et choix volontairement engagés pour bâtir un Togo prospère et économiquement établi.
L’emploi des jeunes qui représente de nos jours un enjeu majeur, reste une priorité dans les plans de développement élaborés sous le leadership du chef de l’Etat.
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Car les jeunes qui ne sont pas en emploi sont en situation de grande précarité et donc exposés à toutes sorte de vices. Une raison de plus qui poussa le gouvernement à s’engager très vite dans la mise en place des mécanismes attractifs des investissements et de promouvoir les secteurs générateurs d’emplois.
C’est ainsi que la toute petite structure de développement basé à Sotouboua, CECODRI va bénéficier d’un environnement incitatif pour diversifier ses activités et devenir un grand empire économique.
Le groupe CECO qu’on l’aime ou pas, est une fierté nationale. Tout comme Dangoté au Nigeria, Constantin Amuzou a fait rêver les jeunes. Non seulement il fut à un moment donné le principal pourvoyeur d’emplois après l’Etat mais aussi reste-t-il un exemple de self made.
Son groupe était l’une des boites qui donnaient les premières chances à tout jeune qui venait de finir son cursus. Le groupe avait une philosophie qui cadrait bien avec la vision des autorités du pays à mettre en œuvre des politiques appropriées favorables à créer de manière efficace et durable des emplois décents en faveur des jeunes.
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Il faut le préciser, plusieurs jeunes ont pu s’insérer professionnellement dans cette entreprise qui, malheureusement, n’a pas échappé à la furie de certains briseurs d’avenir.
Point n’est besoin de s’attarder sur les méchantes personnes qui ont juré faire la misère au groupe CECO. Retenons seulement qu’elles sont parvenues à mettre au chômage des milliers de jeunes et par ricochet accroitre la misère dans le pays.
Le drame est que, comme le soutenait un esprit averti, derrière un jeune salarié se trouve toute une famille voire une communauté. Hélas, les méchants n’ont pas réfléchi à cet aspect.
Aujourd’hui, l’apaisement pour la relance du développement doit amener les autorités togolaises à donner une nouvelle chance au promoteur du groupe CECO.
Il s’agit de l’aider à se relever pour le bien de tous. Lui donner des l’aiderait à sortir de milliers de jeunes du désespoir. Ce serait aussi relancer tous les projets sociaux en souffrance à Sotoboua et un peu partout sur le territoire.
Pour ceux qui ne le savaient pas, le richissime homme d’affaire nigérian Dangote est un pur produit du Président Obassandjo. Ce président visionnaire s’était engagé à asseoir un secteur privé viable dont l’influence devrait aller au-delà du Nigeria.
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Plus qu’une affaire de fierté nationale, l’œuvre du président Obassandjo s’inscrivait dans un choix stratégique bien réfléchi. De nos jours, les fruits de cette volonté affichée profitent d’abord au Nigeria mais aussi place le pays dans une position de supériorité inégalée dans la sous-région.
Les calculs mesquins n’ont pas effleuré l’esprit de ce grand homme. Pour lui, il était question de promouvoir des hommes d’affaires de son pays et les rendre puissants sur le continent. Pari réussi si l’on s’attarde sur le nombre de multimilliardaires fabriqués.
C’est ce rêve que nous devrons nourrir pour notre pays. Et l’on sait que la vision de Faure Gnassingbé est tournée vers la construction d’un destin commun de prospérité partagée. Faire revenir CECO serait d’une utilité salutaire.
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Source : Togoweb.net