Vice-président de l’Assemblée nationale, André Johnson explique pourquoi l’Union des forces de changement (UFC), son parti, a choisi de voter en faveur de la réforme constitutionnelle portée par Faure Gnassingbé.
Doyen de la Chambre basse, dont il a été élu vice-président fin janvier, André Johnson, 70 ans, est un proche de Gilchrist Olympio, le leader de l’Union des forces de changement (UFC). Opposé à l’accord de gouvernement passé entre ce dernier et Faure Gnassingbé en 2010, l’ancien professeur a un temps quitté l’UFC avec d’autres cadres, dont Jean-Pierre Fabre, pour former l’Alliance nationale pour le changement (ANC). Avant de revenir sur sa décision et d’être nommé ministre de l’Environnement en 2013, poste qu’il occupera jusqu’en janvier 2019.
Jeune Afrique