(Togo Officiel) – Lomé abrite depuis jeudi 19 janvier, les travaux de la conférence parlementaire de haut niveau sur le terrorisme et l’extrémisme violent. La rencontre, organisée conjointement par le Bureau des Nations Unies pour la lutte contre le terrorisme (UNOCT) et l’Assemblée nationale du Togo, avec la collaboration de l’Union parlementaire africaine, du Comité interparlementaire du G5 Sahel, et du Conseil de la Choura de l’État du Qatar, intervient presque un an après celle de Doha, au cours de laquelle le Togo avait partagé son approche.
Implication des #jeunes dans la lutte contre le terrorisme et la prévention de l’extrémisme violent en Afrique : une conférence parlementaire de haut niveau se tient à #Lomé #UnisContreLeTerrorisme#ExtrémismeViolenthttps://t.co/Qn0BVHpNrs pic.twitter.com/zZkk6McXW5
— Assemblée Nationale Togolaise (@ParlementTogo) January 20, 2023
En tout, près de 300 délégations de parlementaires venues de plus de 25 pays prennent part à cette rencontre de haut niveau, axée sur l’engagement des jeunes. Les travaux, qui s’achèvent ce vendredi 20 janvier, sont ainsi l’occasion de réfléchir sur les moyens qui permettront d’impliquer davantage les jeunes, dans la lutte contre le péril terroriste.
Sur le continent en proie au phénomène et à la radicalisation d’une partie de la jeunesse, plusieurs actions sont menées, mais restent encore isolées et pas suffisamment efficientes. D’où la nécessité de la mise en place d’un cadre de réflexions de haut niveau qui permettra de s’attaquer aux racines de la violence et de l’extrémisme violent chez les jeunes.
Au sortir des assises de Lomé, il est attendu des propositions devant encourager les Etats à envisager des moyens d’amplifier la représentation globale des jeunes dans les prises de décision.
La conférence a été ouverte par la Présidente de l’Assemblée nationale, Yawa Tsègan, en présence d’un parterre d’autorités nationales et internationales.
Source : RepubliqueTogolaise.com