La vidéo virale du directeur de l’école Robert Sepey au Ghana montrant le directeur ayant des relations intimes avec son élève serait divulguée par des amis jaloux du frère de la jeune fille.
Dans la vidéo, la fille agenouillé devant lui sur un tabouret de cuisine alors qu’il s’engage dans l’acte sexuel.
La fille a dit à la police que le directeur ne l’avait pas violée mais ils ont tous deux accepté d’avoir des relations sexuelles.
Selon la fille, Priscilla Tettey, la vidéo a été enregistrée il y a plusieurs années déjà quand elle sortait avec le directeur pour leur plaisir visuel.
Elle a cependant oublié de l’effacer. Récemment, elle a donné son téléphone à son frère pour transférer quelques chansons et il est tombé dessus.
Certains des amis de son frère, qui avaient déjà fait des avances à Priscilla, ont décidé de publier la vidéo, apparemment comme une «punition» pour les avoir rejetés.
« D’autres amis de son frère ont aussi vu la vidéo et ils ont décidé de la diffuser parce qu’ils lui avaient fait des avances et elle a refusé », a révélé une délégation du Ghana Education Service (GES) dans le cadre de leurs enquêtes.
La délégation conduite par le directeur du district de l’éducation, Isaac Godwin Kwasi Acquah-Arhin, a également découvert que, contrairement aux informations selon lesquelles une fille avait 16 ans, elle allait avoir 19 ans en juin.
Leur relation serait connue de sa famille. Le GES après les délibérations a relevé M. Sepey de son poste et lui a demandé de remettre à son superviseur de circuit pour qu’il fasse face à un comité de discipline de deux hommes.
Les parents de la fille et d’autres membres de la famille, suggère le rapport du GES, étaient intéressés à faire en sorte que les personnes qui ont divulgué l’enregistrement soient punies et punies.
Pendant ce temps, le commandement de la police régionale centrale a entamé des enquêtes sur la question et a limogé trois personnes recherchées à cause de la fuite de la vidéo.
Les jeunes et les leaders d’opinion de la ville appellent donc à un transfert massif de tous les enseignants de la communauté car ils prétendent que le phénomène existe depuis longtemps et ne peut pas continuer.
Source : www.cameroonweb.com