Les sorciers et féticheurs qui font le bonheur du chef de l’État Congolais Denis Sassou Nguesso lui avaient transmis la recommandation des ancêtres de commettre l’inceste au moins deux fois dans le mois pour conserver son pouvoir chèrement acquis au bout du fusil et au prix des cadavres des Congolais. Depuis Denis Sassou Nguesso qui croit aveuglement aux fétiches choisit entre filles,nièce cousines,tantes etc ses victimes du mois.
Depuis son retour aux affaires en 1997 au prix de la vie de milliers de Congolais,Denis Sassou Nguesso s’est réfugié mordicus le monde parallèle pour conserver coûte que coûte son pouvoir. Peu à peu il a opéré son coup d’état dans la franc-maçonnerie dont il est aujourd’hui le grand maître de la loge du Congo.
A Oyo,il en a fait de même avec les sorciers et féticheurs du coin en devenant le Kani. Et pour contrôler tous les sorciers et féticheurs du pays,il a chargé son acolyte Jean Dominique Okemba d’effectuer le tour du Congo et d’avoir dans sa poche tous les grands sorciers.
Rassuré de dominer dans la vie réelle et irréelle le Congo,Denis Sassou Nguesso est un bon élève de ses féticheurs et qui ne laisse aucun détail fétichiste l’échapper. A la recommandation de ses féticheurs de commettre l’inceste deux fois le mois pour conserver son pouvoir,Sassou Nguesso n’a pas hésité à avoir dans son lit sa propre nièce Nanou Matoumouna qu’il a pourtant élevé. L’enfant,né de cette sauvagerie a succombé quelques années plus tard.
La rumeur à Brazzaville lui attribue une relation intime avec sa fille Claudia,toujours dans cette volonté fétichiste. Par ailleurs la mère de sa nièce Nanou,fille Henriquet qui est sa cousine,est passé aussi dans son lit ( Ku dia nsusu,Ku dia meki).
L’actuel ministre du tourisme Arlette Nonault Soudan,qui est aussi sa nièce est l’une de ses proies préférées,d’où le manque de respect de cette dernière à ses collègues ministres et même au premier ministre.
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Denis Sassou Nguesso est un bon jongleur qui a fait des enfants avec les mamans de ses filles Joujou et Cendrine qui sont pourtant des sœurs. Rien d’étonnant qu’on sait qu’il a détourné Antoinette la veille de son mariage.
Une indiscrétion du palais affirme que ce sont plus de 60 de ses nièces ,50 de ses cousines et même ses tantes qui passent chaque fois dans son lit. Le tout pour que le pouvoir reste à jamais à Oyo.
Claudia Sassou « la petite du poupou » 46 ans et 55 hommes et demi connus
Elle est la fille à papa,la petite du pouvoir,la chargée en communication de son père Denis Sassou Nguesso,veuve d’un Gabonais mort à cause de ses infidélités,elle n’est pas trop belle,ni élégante,mais elle a l’argent et le pouvoir. A ses 46 ans d’âge,elle a connu déjà 55 hommes et demi,l’actuel n’a pas encore goûté au miel.
Claudia Lemboumba n’est pas seulement la fille de Denis Sassou Nguesso et sa conseillère écoutée pour la Communication, chef du Département de la Communication, des Médias et des Relations publiques de la Présidence de la République. C’est avant tout une femme d’action et une femme de cœur.
C’est au milieu des années 1990 que Claudia Lemboumba Sassou Nguesso rejoint le Congo, après des études en Europe, où elle a obtenu le diplôme en management de l’American College de Londres. Après plusieurs expériences professionnelles dans la finance et l’expertise comptable à Libreville, au Gabon, elle choisit alors de rentrer au pays pour travailler aux côtés de son père, qui lui confie, en 2003, la tâche de promouvoir l’image et le rayonnement du pays, à l’instar d’une Claude Chirac œuvrant aux côtés de son père, l’ancien Président français Jacques Chirac.
Mère de deux enfants, Claudia Lemboumba Sassou Nguesso ne va pas ménager ses efforts pour développer une action de communication visant à faire connaître et reconnaître la place de Brazzaville dans l’équilibre géopolitique du continent africain. On se souvient de son action efficace en 2006 pendant la présidence congolaise de l’Union africaine, mais elle est également à l’œuvre dans toutes les manifestations d’envergure internationale organisées dans la capitale congolaise… C’est le cas par exemple de la célébration, en 2014, du vingt-cinquième anniversaire du Protocole de Brazzaville, qui constitua l’ultime étape de la décolonisation de l’Afrique australe, signant la fin de l’apartheid et la libération de Nelson Mandela, ainsi que l’acte de naissance de la Namibie.
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Permettre la reconnaissance du rôle du Congo et de Denis Sassou Nguesso lui-même dans ce processus historique, représentait à ses yeux un devoir à la fois filial et historique. Et c’est de cette manière que Claudia Lemboumba conçoit la communication : non seulement avec la raison, mais aussi avec le cœur. Défendre l’image du Congo et lui donner toute sa résonance en l’appuyant sur les réalisations du passé pour l’orienter vers l’avenir.
Il ne suffit pas de communiquer, il faut aussi réaliser et convaincre dans les faits : en allant directement rechercher les suffrages de ses concitoyens à la tête de la liste du PCT à Talangaï, Claudia Lemboumba a pris le risque de se soumettre au jugement des urnes. A l’unisson du programme national « Eau pour tous », qui permet l’accès à l’eau potable à moins d’un kilomètre pour toutes les unités d’habitation des régions rurales du Congo, Claudia Lemboumba se bat pour que l’eau courante potable soit facilement accessible sur l’ensemble de sa circonscription comme sur le reste du territoire national. C’est même un de ses objectifs majeurs, face au développement rapide de nouveaux quartiers à la périphérie de la capitale, qui entraînent sans cesse de nouveaux besoins en termes de viabilisation et d’équipement.
La communication, ce sont bien sûr de grands événements médiatiques et économiques qui font rayonner le Congo à l’international et permettent d’attirer les investisseurs, mais c’est aussi un accent mis sur les réalisations concrètes, les équipements du quotidien, tout ce qui change la vie des populations et leur permet une meilleure alimentation, une meilleure santé, une éducation de meilleure qualité. C’est parce qu’elle maîtrise la communication par ces deux bouts que Claudia Lemboumba Sassou Nguesso parvient aujourd’hui à construire l’image d’un Congo en plein développement, dans une Afrique Centrale trop souvent chaotique.
Source : www.cameroonweb.com