Facebook, WhatsApp, Twitter, YouTube … la liste est longue. Ils sont indispensables dans le quotidien de l’être humain surtout à cette époque où on est pressé de se mettre au pas de la technologie. Les échanges, les questions brulantes de l’heure continuent d’animer les débats. Egalement, des informations dont la source reste difficile à vérifier y circulent à grande vitesse.
Chaque jour les utilisateurs des réseaux sociaux ne cessent de croitre. Les gens de tous bords en font usage, les messages de tous genres y pleuvent à outrance. Les réseaux sociaux sont un monde où il n’est pas du tout aisé de distinguer le vrai du faux.
Si les uns savent mettre les réseaux sociaux au service des affaires, d’autre par contre n’en font pas bon usage.
« Nous qui sommes dans la mode, nous en avons fait un moyen de promotion de nos produits. Nous mettons en ligne les nouveautés, ce qui augmente un peu plus non seulement notre visibilité mais aussi notre chiffre d’affaire », raconte Emile patron d’un atelier de couture
De moyen d’information et d’échange aux outils de travail qu’ils sont, les réseaux sociaux sont en passe de devenir le creuset où foisonnent obscénités, mensonges, calomnies, affabulations, intoxications, ou encore des règlements de compte.
Le 22 novembre dernier, un faux appel d’offre attribué au ministère de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation Civique, annonçait un recrutement pour le réaménagement du stade de Kégué. Et le lendemain à la première heure, une foule était rassemblée au stade. Or ce n’était qu’un leurre.
« On gagnerait mieux dans l’usage des réseaux sociaux si on en faisait un bon usage. Nous, surtout les jeunes, devons reconsidérer notre manière d’utiliser les réseaux sociaux en les prenant du bon côté. C’est un monde virtuel, certes, mais avouons que nous nous causons du tort auprès des internautes à travers certaines de nos publications. La pornographie par exemple. Faut-il ajouter que les auteurs de fausses nouvelles sur les réseaux sociaux doivent être poursuivis si possible, sinon ils abusent des autres en le faisant », a déclaré Julien, étudiant croisé dans les rue de Lomé.
C’est la réalité des réseaux sociaux, à chacun de bien voir les choses et d’en tirer profit.
Edem (Stagiaire)
Source : www.lomechrono.com