L’Assemblée générale des Nations Unies s’ouvrira mardi avec le discours très attendu du président américain Donald Trump. Les Etats-Unis poussent à une réforme de l’institution jugée inefficace, partisane et budgétivore.
Il sera question du conflit en Syrie, de la crise humanitaire en Birmanie et des menaces nord-coréennes.
La situation au Togo n’est pas à l’ordre du jour. D’ailleurs, il n’y a aucune raison qu’elle le soit.
Toutefois, le porte-parole d’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, s’est exprimé il y a quelques jours sur le sujet. Interrogé sur les manifestations, il a rappelé que ‘La position du secrétaire général des Nations Unies est que le peuple doit être en mesure de choisir ses leaders par la voie démocratique, c’est à dire par des élections’, a-t-il déclaré.
La position de l’ONU reste fidèle aux principes de l’organisation.
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