La réponse à cette question permettra de lutter contre la criminalité, le braquage… dans une certaine mesure à Lomé et dans ses environs surtout que les braqueurs opèrent de façon générale sur une moto.
Au ministère de la Sécurité et de la Protection, toutes les mesures sont actuellement à l’étude afin de réduire sensiblement l’insécurité devenue grandissante dans la capitale. Parmi elles, l’identification formelle des conducteurs de moto, plus connus sous le nom de Zémidjan. Car ces derniers mois, beaucoup d’actes de braquages, de cambriolages se réalisent à lors que leurs auteurs sont sur une moto.
Cette nouvelle donne permettra d’identifier la nature des motos en circulation dans le pays. Entre-temps, la Direction des transports routiers et ferroviaires a décidé d’immatriculer les motos qui séviront de taxi sur une plaque jaune. Seule « une poignée de motos sont déclarées comme telles », renseigne togobreakingnews. Ce qui crée, ajoute cette source, « une énorme confusion que ne cessent d’exploiter des malfrats pour des braquages qui connaissent une recrudescence dans le pays ».
Il y a quelques mois, la circulation de taxi-motos au marché d’Adawlato a été interdite afin de le sécuriser contre les braqueurs qui opèrent en se faisant passer pour un zemidjan et son client.
Ce site internet souligne, en outre, que « De commun accord avec les responsables d’organisations de conducteurs de taxi-moto, une tenue obligatoire sera annoncée incessamment ». Une mesure qui vise à lutter « contre le braquage et d’autres situations liées aux taxis-motos ».
A.H.
Source : www.lomechrono.com